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1983 REFUSE
PAR LES ET
Alfred
Burtoo (77 ans), accompagné de son chien, s'était installé au bord du canal
de Basingstoke, non loin d'une caserne de l'Armée britannique, afin d'y
pêcher toute la nuit. Il entendit une horloge proche sonner 1 heure et
s'apprêtait à boire une tasse de thé sorti de sa bouteille Thermos. Burtoo
vit une lumière brillante descendre de ce qu'il prit au départ pour un
hélicoptère de l'armée. Il atterrit sur le chemin de halage du canal, situé
à quelque distance et la lumière s'éteignit. En l'espace de quelques
minutes, il fut approché par deux êtres faisant 1,50 m de haut,portant des
combinaisons verdâtres
et des visières sur le visage. Son chien, sur la défensive, gronda contre
eux. Ils lui firent signe de les suivre et il s'exécuta ("Ayant 77 ans, je
n'avais plus grand-chose à perdre", devait expliquer Burtoo par la suite).
Le trio arriva jusqu'à un objet arrondi dépassant du chemin surplombant le
canal et Burtoo se baissa pour en franchir le seuil.
Une fois à l'intérieur de l'engin, on lui demanda son âge et on le pria dans
un anglais "mal assuré" de se tenir sous une lumière ambrée, ce qu'il fit.
L'un des extraterrestres lui dit au bout de quelques minutes: "Vous pouvez
vous en aller. Vous êtes trop vieux et trop infirme pour servir notre
dessein". Lorsqu'il retourna à sa canne à pêche, son chien se comportait
normalement, mais son thé était froid. Peu après, il vit la lumière de
l'ovni s'élever dans le ciel puis filer à une allure vertigineuse. Il était
environ 2 heures du matin.
1985 SURVOL DU
ZIMBABWE A GRANDE VITESSE
Les habitants de six villes des alentours dirent avoir vu un
ovni au-dessus de Boulawayo. À 17 h 45, deux avions d'interception Hawk, de
la Zimbabwe Air Force (ZAF) décollèrent de la base aérienne de Thornhill
pour aller voir ce qui se passait. Ce fut la première rencontre entre
ovnis et militaires de toute l'histoire de ce pays.
L'aéroport de Boulawayo captait sur son radar l'ovni qui était observé par
des spectateurs au sol. De forme arrondie, surmonté d'un petit cône, il
brillait si vivement dans la lumiére de l'après-midi que les autres détails
étaient indistincts. Les avions Hawk de la ZAF approchèrent de l'ovni tandis
qu'il stationnait à une altitude de 2 000 mètres, mais il
remonta alors à 21000 mètres en moins d'une minute. Les Hawks le
poursuivirent jusqu'à 9500 mètres puis abandonnèrent la chasse alors que
l'ovni volait en palier. Puis, ce dernier suivit les
jets jusqu'à leur retour à Thornhill avant de finalement repartir à toute
allure.
1985 L'ETRANGE AFFAIRE WHITLEY STRIEBER
Whitley Strieber, auteur de romans d'horreur et de
science-fiction, séjournait avec son épouse et son
fils dans leur maison isolée dans le nord de l'État de New York. Il
craignait depuis un certain temps d'éventuels intrus
et, avant de se mettre au lit, vers 23
heures, il avait enclenché un système d'alarme perfectionné.
Strieber fut réveillé le 27 décembre aux premières heures du matin par un
étrange bruit, comme si plusieurs personnes se trouvaient dans la pièce du
rez-de-chaussée. l'alarme n'avait pas retenti.
Une silhouette se précipita ensuite dans la chambre.
L'autre souvenir conscient qu'il eut fut d'avoir été
assis dans les bois à l'extérieur de sa maison. En
assemblant les souvenir conscients à ceux collectés sous hypnose, on apprit
que Strieber avait flotté dans un "sombre petit lit de fer"
depuis sa maison jusqu'au bord d'un
ovni. Là, dans une pièce en désordre,il rencontra des
êtres de quatre espèces différentes: un petit être du
genre robot, un être petit et trapu portant 1 bleu de
travail, et deux autres, hauts'
1,50 m, "très fluets et délicats ", dont l'un avait "des yeux noirs et
bridés, hypnotiques", et l'autre des yeux noirs en forme de boutons. L'une
des créatures s'avéra être hermaphrodite. Les extraterrestres
introduisirent une aiguille dans son cerveau et, dans
son rectum, un "objet énorme et extrêmement menaçant" doté d'un
enchevêtrement de fils à son extrèmité. Ils lui firent également une
entaille au doigt. Sous hypnose, Strieber se souvint d'avoir vu, sur des
tables à l'intérieur de l'ovni, des soldats dans le coma ainsi que sa sœur
et son père. Il a relaté toute son aventure dans un livre intitulé
"Communion" devenu un
best-seller mondial
1986
TAPAGE AU-DESSUS DE SAO POLO
Le Brésil possède l'un des plus forts taux
d'observations d'ovni au monde. Cela est souvent attribué aux complexes
influences culturelles et religieuses, impliquant une grande proportion de
récits imaginaires. Les événements qui suivent sont plus difficiles à
réfuter. Après 21 heures, durant environ trois heures, les radars civils et
militaires captèrent de nombreux ovnis dans les parages de Saô Paulo et de
Rio de Janeiro - 300 km plus loin sur la côte- ainsi que dans l'État de
Goias, au centre du Brésil. Des pilotes s'envolant des aéroports de ces
endroits ou y atterrissant rapportèrent avoir vu des ovni ou les avoir
captés sur leur radar de bord. Voici quelques-unes de ces observations:
À 21 h 10, aspires Silva, président de la
Compagnie pétrolière gouvernementale Petrobras, était sur le point de faire
atterrir son avion à Saô Jose dos Campos lorsque lui et son compagnon virent
des lumières rouges orangées et leur donnèrent la chasse. Les lumières
cessaient puis réapparaissaient, chaque fois à un nouvel endroit Au bout de
30 minutes, Silva abandonna la traque.
À 22 h 23, trois chasseurs Northrop F-5E Tiger décollèrent de base Air force
de
Santa Cruz, près de Saô Paulo. L'un d'eux s'approcha à moins de 20 km d'un
ovni qui changeait de couleur, passant du blanc au vert, et fonçait en
direction de la mer. Un autre Tiger poursuivit lui aussi un ovni qui variait
de coloris, passant du rouge au blanc et du vert au rouge, mais perdit de
l'allure par manque de carburant avant de pouvoir s'en approcher. Les deux
ovnis furent à la fois vus au sol et captés par les radars de bord.
À 22 h 50, un chasseur Dassault Mirage III fut entouré par une douzaine
d'ovnis invisibles, sauf sur radar, avant qu'ils ne s'élèvent au-dessus du
chasseur à des allures dont sont incapables les avions conventionnels.
1986 UN 747
OBSERVE EN VOL
le vol 1628 de la Japan Airlines (JAl), un avion-cargo
Boeing 747 dont l'équipage se composait de trois personnes, faisait route
depuis l'Islande en direction d'Anchorage, en Alaska. À 17 h 10, le jet
volait à 10500 métres, à une orientation de 215' au-dessus du nord-est de
l'Alaska.
À 17 h 11, les membres d'équipage remarquérent des lumières à leur gauche et
en dessous d'eux. Ils supposèrent tout d'abord qu'il s'agissait d'avions de
l'USAF. Puis les lumières s'élevèrent soudainement à leur niveau, face à
eux, "tirant des lumières", de sorte que le cockpit se trouva illuminé et,
comme l'affirma le commandant de bord: "Je ressentis de la chaleur au
visage." Les lumières, peut-être une double rangée sur un seul objet.
ressemblaient de prime abord à deux dispositions rectangulaires l'une
au-dessus de l'autre. Puis elles optèrent brutalement pour une position
côte-à-côte. L'équipage contacta la branche régionale
du Contrôle du trafic aérien afin d'obtenir des renseignements sur cet
"avion" inconnu en face d'eux. Ce dernier n'avait
aucun signe radar de l'ovni. Puis les communications radio se brouillèrent
dans les deux sens et ne redevinrent normales que lorsque l'ovni se rangea à
bâbord du JAL 1628. Mais deux lumières blanches demeurèrent droit devant,
alignées sur la vitesse de l'avion.
Tandis que le contrôle contactait l'USAF, lui demandant si ses radars
avaient des retours à proximité de l'avion-cargo, le commandant de bord du
JAL 747 tourna de côté son radar météo. Celui-ci révéla un volumineux objet
à environ 12 km de là. Les radars civils du contrôle et ceux de l'USAF
montraient désormais des "spots" non identifiés
autour de l'appareil. Puis les lumières blanches
se laissèrent distancer par l'avion et furent perdues de vues, disparaissant
au même moment des écrans radar. Vers 17 h 50, près de Fairbanks, Alaska, le
commandant de bord du JAL vérifia ce qui passait derrière l'avion et aperçut
un gigantesque ovni qui avait la forme de la planète
Saturne. L'équipage était cette fois inquiet et le commandant de bord
demanda la permission de changer de cap: ce qui mit quelque temps à se faire
en raison de nouveaux problèmes radio. l'ovni suivit l'avion-cargo de la JAL
comme il virait de bord, et le commandant demanda à pouvoir descendre à plus
basse altitude. Mais ce ne fut pas nécessaire. Il fit effectuer un brusque
virage au 747 et l'objet disparut.
1987/1988 JOURS ETRANGES A GULF BREEZE
Le
11 novembre 1987, vers 17 heures, Ed Walters, entrepreneur en bâtiment et
promoteur immobilier, se trouvait seul avec son fils dans la maison
familiale. Ils n'étaient pas dans la même pièce. Depuis la fenêtre de son
bureau, Walters vit un ovni se déplacer derrière des pins de l'autre côté de
la rue. Walters s'empara d'un Polaroïd et prit plusieurs instantanés. Se
précipitant dans la rue pour en prendre d'autres, il fut frappé par un rayon
de lumière bleue et immobilisé. Il y avait une forte odeur de cannelle et
ses pieds commencèrent à quitter le sol. Il entendit une voix dans sa tête
lui dire: "Nous ne vous ferons aucun mal." Lorsque Walters persista à
résister, son esprit fut rempli d'image de
chiens. La lumière n'était plus là et il retomba sur le sol. L'ovni avait
disparu.
Walters fit bien d'autres observation et prit de
nombreux autres clichés au cours des cinq mois qui
suivirent. L'ovni était toujours le même, mesurant environ 3,50 m de
diamètre et 2,70 m de hauteur, et était muni en dessous d'un "anneau de
propulsion", vivement éclairé, de 2,50 m de large. La
venue de l'ovni était généralement précédée d'un étrange bourdonnement dans
sa tête, et les enquêteurs se demandèrent s'il n'était
pas produit par un implant qui y aurait été introduit
lors d'un enlèvement s'étant produit plus tôt dans son existence. Il est
certain qu'il vécut quelques expériences étranges au cours de sa jeunesse,
et l'une d'entre elles pourrait être interprétée comme un enlèvement.
L'événement impliquait égaIement des souvenirs, ou des images, de chiens. Le
2 décembre, il rencontra un extraterrestre dans son arrière-cour et le fit
déguerpir. Le 12 janvier 1988, il était dans sa camionnette à plateau et
rencontra par hasard un ovni en vol stationnaire au-dessus de la route. Il
le photographia. Cette fois, un rayon de lumière blanche paralysa Walters
alors qu'il se cachait sous sa camionnette. Des extraterrestres sortirent de
l'ovni et se dirigèrent vers le véhicule, mais
Walters réussit à remonter dedans et à prendre la fuite.
Le 7 février, l'ovni rendit à nouveau visite à la
demeure des Walters et Frances Walters, l'épouse de Ed, manqua de peu d'être
"frappée" par un rayon bleu - un événement qu'Ed
Walters s'arrangea pour fixer sur pellicule. Le 1er mai,
à 1 h 10 du matin, Walters prenait sa trente-neuvième photo d'ovni lorsqu'il
fut entouré d'une lumière blanche et s'évanouit. Il revint à lui à 2 h 25.
Il se demanda s'il n'avait pas été enlevé durant ce temps et si l'implant
qui l'avertissait qu'un ovni s'approchait ne lui
avait pas été retiré.
Cette affaire bénéficia d'une énorme publicité nationale et le résultat en
fut que Gulf Breeze attira un très grand nombre "d'observateurs
du ciel ", bien résolus à voir les ovni lorsqu'ils apparaîtraient, et à vrai
dire certaines personnes assistèrent à de nouvelles représentations. Mais
même avant que Gulf Breeze ne figure à la une des journaux, divers habitants
du coin prirent des photos d'ovni ou rapportèrent des observations
coïncidant souvent avec les dates et les heures où Walters vécut ses
expériences.
1988 LA VOITURE
ASPIREE
Fay Knowles et ses trois fils, accompagnés
de leurs deux chiens, venaient de l'est de Perth et faisaient route vers
Mundrabilla, traversant la plaine de Nullarbor. Vers 1 h 30 du matin, leur
autoradio commença à mal fonctionner. Vers 1 h 45, le quatuor aperçut au
loin des lumières. Comme la voiture s'approchait, il s'avéra qu'il n'y avait
qu'une seule lumière.
La lumière stationnait sur le côté de la grande route. Scan Knowles, le
conducteur, ne réalisa pas avant le dernier moment que cette lumière
illuminait un autre véhicule. Il fit une violente embardée pour éviter
l'accident puis fit demi-tour pour voir ce qui se produisait. La lumière se
déplaça au-dessus de la route, poursuivie par le véhicule des Knowles. Puis
elle commença à faire marche arrière en direction de la voiture. Sean fit à
nouveau demi-tour, mais l'ovni les rattrapa. Quelque chose atterrit sur le
toit de la voiture avec un bruit sourd et le véhicule sembla quitter le sol.
Fay Knowles baissa une vitre et sortit sa main pour toucher l'objet
au-dessus. Elle affirma qu'il était "chaud et spongieux". Par ailleurs,
c'était le chaos dans la voiture. L'un des fils déclara qu'il avait cru que
son cerveau allait lui sortir de la tête. Sean, le conducteur, s'évanouit
brièvement. Les chiens devenaient fous furieux. De la poussiere, entrant par
la fenêtre baissée, tourbillonnait à l'intèrieur et il flottait une odeur de
cadavres en décomposition. Puis l'ovni lâcha la voiture. Elle retomba avec
violence sur le sol et l'un des pneus éclata. Sean la reprit en main,
l'arrêta, et toute la famille en sortit pour aller se cacher derrière l'un
des bas-côtés de la route jusqu'à ce que l'ovni s'éloigne. L'ovni était à
peu près de la même taille que la voiture, blanc avec un centre jaune. Il
émettait une sorte de bourdonnement électrique. Lorsqu'il fut parti, survint
l'une des conséquences les plus bizarres de l'expérience: durant environ 15
minutes, la voix de tous devint très aiguë, comme s'ils avaient respiré de
l'hélium. Dans cet état, la famille changea la roue puis repartit en
direction de Mundrabilla.
1989
ENLEVEMENT A NEW YORK
En
avril 1989, la New-Yorkaise Linda Cortile (alias "Linda Napolitano"),
âgée de 45 ans, commença une régression sous hypnose avec le chercheur Budd
Hopkins.
Elle pensait avoir été enlevée par des extraterrestres alors qu'elle était
âgée de 20 à 30 ans.
Le 30 novembre, Mme Cortile rapporta à Hopkins avoir été de nouveau enlevée
-vers 3 h15 1e matin même. Elle avait des souvenirs
conscients mais fragmentaires de ce qui s'était produit. Elle était partie
se coucher vers 3 heures du matin, son mari dormait
déjà. Elle commença presque aussitôt à ressentir un
engourdissement paralysant qui partait de ses pieds pour gagner son corps
tout entier. En raison de son expérience passée, elle savait qu'il
s'agissait du prélude à un enlèvement. Elle tenta de réveiller son mari,
mais en vain. Elle s'aperçut qu'un être gris venait d'apparaître dans la
chambre et jeta un oreiller dans sa direction. Puis elle fut totalement
paralysée et se sentit la tête vide, bien qu'elle se
souvint vaguement de quelqu'un palpant sa colonne. Tout ce dont elle se
rappelait, ensuite, était le retour dans son lit.
Sous hypnose, Mme Cortile se souvint que trois ou
quatre extraterrestres étaient venus dans la chambre. Puis elle fut emmenée
en "flottant" par les extraterrestres à travers la fenêtre fermée de son
appartement du douzième étage -situé dans le quartier Est. Elle entra dans
un rayon de lumière bleue puis fut transportée à bord d'un engin qui se
trouvait en
vol stationnaire au-dessus de l'immeuble. Elle subit un examen médical, puis
on la ramena au-dessus de son lit et on la lâcha brusquement. Son violent
retour manqua de réveiller son mari. Craignant que
lui et ses deux fils n'aient été tués par les extraterrestres, elle s'assura
qu'ils respiraient encore en tenant un miroir sous leur nez. Ils n'avaient
rien.
Environ 15 mois plus tard, en février 1991, Hopkins reçut une lettre de deux
hommes prétendant être officiers de police. Ils dirent avoir assisté à
l'enlèvement de Mme Cortile depuis une voiture garée
au-dessous de l'avenue Franklin D. Roosevelt, à quelques blocs de son
immeuble. Elle aurait .flotté comme un ange dans l'espace jusqu'à l'ovni,
dont la taille correspondait .à peu près aux trois
quarts de la taille de l'immeuble.. Puis l'ovni avait pris de l'altitude,
avait survolé l'avenue Franklin D. Roosevelt et plongé dans l'East River,
non loin du pont de Brooklyn. Ils avaient pensé
entrer dans l'immeuble pour y retrouver la femme et
vérifier la réalité de ce qu'ils avaient vu. Ils étaient particulièrement
soucieux de savoir si la victime était vivante et en
bonne santé, car ils avaient attendu 45 minutes sans voir l'ovni ressortir
de l'eau. Les policiers signaient Richard et Dan.
Hopkins avertit Mme Cortile qu'elle pourrait bien recevoir la visite de ces
deux hommes. Elle était bouleversée de ce qu'une expérience qu'elle espérait
être imaginaire s'avérât bien réelle. Elle rapporta
quelques semaines plus tard que Richard et Dan
l'avaient appelée et qu'ils étaient visiblement soulagés de la trouver saine
et sauve. Ils refusèrent de parler à Hopkins en personne, par crainte de la
publicité, mais acceptèrent de se mettre en rapport avec lui.
Hopkins reçut peu après de l'un des policiers d'autres lettres, des dessins
relatifs à l'événement et un récit enregistré. Il
expliquait que lui et son collègue ne pouvaient rencontrer Hopkins car ils
étaient à
vrai dire des officiers des services secrets.
La nuit de l'enlèvement, ils escortaient Perez de Cuellar, alors Secrétaire
général des Nations unies, jusqu'à un héliport après une réunion secrète,
lorsque leur limousine était tombée inexplicablement
en panne. Ils la poussèrent jusqu'en lieu sûr, à deux rues de l'immeuble de
Mme Cortile. De Cuellar assista également à toute la
scène. Hopkins en conclut que les extraterrestres à
l'origine de l'enlèvement
de Cortile avaient délibérément rnanifesté leur
puissance et la réalité de leur présence sur Terre devant un homme d'une
importance et d'une influence internationales.
Linda Cortile subit deux autres enlèvements en 1991, mais pas par des
extraterrestres. Un aprés -
midi d'avril, Richard et Dan la forcèrent à monter dans une voiture alors
qu'elle se promenait dehors et lui posèrent une série de questions
bizarres. Par exemple: était-elle une
extraterrestre? Ils lui demandèrent de retirer ses chaussures afin de
prouver qu'elle avait des orteils car, lui dirent-ils, les extraterrestres
ne possèdent pas d'orteils. Mme Cortile s'aperçut d'une manière ou d'une
autre que leur voiture était suivie.L'hypnose
révéla ultérieurement les numéros des plaques d'immatriculation de la
voiture dans laquelle elle se trouvait et de celle
qui les suivait. Hopkins découvrit qu'ils
correspondaient à des missions diplomatiques britanniques et vénézuéliennes
auprès des Nations unies.
Le 15 octobre, elle fut _kidnappée par Dan qui la
poussa dans une Jaguar rouge et la conduisit jusqu'à
une maison sur la plage de
Long Island. Là, entre autres affronts, il la fit se
dévêtir puis mettre une chemise de nuit blanche,
semblable à celle qu'elle portait au moment de
l'enlèvement. Mm Cortile narra sur cassette une partie de ce
rapt qui tourna court lorsque Richard arriva et
s'arrangea pour administrer un sédatif à Dan. Elle
reçut plus tard une lettre de Dan, rédigée depuis un
établissement psychiatrique, qui était clairement
le fait d'un esprit dérangé.
a
En novembre 1991, Hopkins reçut une lettre et
des dessins d'une grand-mère, une standardiste à la
retraite ayant dépassé la soixantaine qu'il appelle
Janet Kible, et dont la voiture avait mysrieusement
calé alors qu'elle franchissait le pont de Brooklyn,
d'où était visible l'appartement de Cortile,
éloigné d'environ 400 métres, la nuit où celle-ci
fut enlevée.
Les lumières du pont s'étaient
aussi éteintes et les autres voitures qui s'y trouvaient
furent également iimmobilisees. Mme Kimble prétendit
avoir vu l'ovni, les extraterrestres et Mme Cortile
flotant jusqu'à l'engin, bien que celui-ci
brillât si vivement qu'elle dût se proteger les
yeux. Les dessins de l'événement effectués par ce
témoin et par l'un des agents des services secrets,
correspondaient sur de nombreux points.
1990
REPRESAILLES EXTRATERRESTRES
L'espace aérien du Turkmenistan était contrôlé par le 12'
Régiment de défense aérienne soviétique. La guerre en Afghanistan en rendait
l'accès strictement réservé et étroitement contrôlé. En plein jour, un ovni
rouge orangé, d'un diamètre estimé à 300 mètres, stationna au-dessus de la
ville de Mary, à une altitude de 900 mètres. Le commandant de la division
locale de la défense aérienne, le colonel Anatoli Kurkchy, ordonna que trois
missiles sol-air soient tirés contre l'ovni, lequel répliqua par trois
rayons lumineux emis de bâbord qui détruisirent
les missiles. Deux jets d'interceptic décollèrent mais, comme ils s'approchaient
de l'ovni, ils furent violemment refoulés du ciel:
les deux avions s'écrasèrent et leurs équipages
furent tuès.
1990 VAGUES
D'OVNIS EN FRANCE
Aux alentours de 19 heures, il s'est passer
quelque chose d'étrange dans le ciel de France. Ce
soir-là, on dénombra en effet plus de 1000
rapports d'observation d'ovnis. Les objets sont
souvents décrits comme d'énormes masses sombres
en forme de triangles ou de parallélépipèdes.
L'une des observations les plus remarquables est
celle de Jean Gabriel Gresl un ancien pilote de l'US Air Force et d'Air
France. Avec six autres personnes,
Gretz-Armainvilliers (Seine-et-Marne),voit, à 800mètres du groupe, un engin
sections pyramidales, ressemblant à un pont
métallique aux dimensions considerables (évaluées
à 400 mètres de longueur pour 80 mètres de hauteur)
effectue deux virages de 30°chacun
puis entre dans un nuage situé à environ 400 mètres
du sol.
Sur la structure apparaissent des lumières rouges, À l'avant
de l'engin, deux projecteurs éclairent en direction du sol et, du milieu de
l'appareil, deux faisceaux horizontaux de lumière blanche éclairent
vers l'arrière, sur une longueur de 1000 mètres environ. La vitesse estimée
de l'engin est de l'ordre de 200km/h.Les
retombees atmospheriques,il s'agit "du troisième
ètage d'un lanceur soviétique ayant servi le 3 novembre à la mise sur orbite
géostationnaire d'un satellite de télécommunication de type Gorizont 21.
Vérification faite, un morceau de débris spatial est bien rentré dans
l'atmosphère, au-dessus de la France, en cette soirèe du 5 novembre à 19h01.
Mais de nombreux témoins ont observé un objet changeant de direction ou sous
les nuages. Et cela, bien avant 19 heures. Il y a donc eu un phènomène
différent de celui de la chute de l'étage de la fusée russe, Mais de quoi
pouvait-il s'agir?
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