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1952 DES OVNIS AU-DESSUS DU CAPITOL -19-20 juillet. entre 23 h 40 et 5 heures, deux radars couvrant la région de Washington perçurent huit ovnis dans une zone aérienne interdite. Ils volaient à une allure comprise entre 160 et 480 km/h, accélérant brusquement à des vitesses phénoménales. Des commandants de bord signalèrent également d'étranges lumières dans le ciel de la capitale, qui se comportaient de la même façon. Des jets d'interception, retardés par une précédente enquête sur des ovnis au New Jersey, arrivèrent à 3 h 30: les ovnis disparurent alors, puis réapparurent après leur départ. À un moment, des opérateurs radar qui suivaient les événements depuis Andrews AFB, virent une imposante sphère orange brillante, en vol stationnaire au-dessus de la base.
George Adamski était un vendeur de sandwiches qui se prétendait "professeur" et "philosophe ". Il vivait à Palomar Gardens, au pied du mont Palomar, en Californie. Il était convaincu que les autres planètes de notre système solaire étaient habitées. Il donnait des conférences sur les ovnis et les extraterrestres lorsqu'il entendit des rumeurs affirmant que des soucoupes volantes auraient atterri dans le désert de Californie. Le jeudi 20 novembre 1952, Adamski (alors âgé de 62 ans), sa secrétaire Lucy McKinnis, et la propriétaire de Paloma Gardens, Alice Wells,retrouvèrent M. et Mme AI Bailey ainsi que le docteur George Williamson, accompagné de son épouse sur l'autoroute près de Blythe (Californic), afin de se rendre dans le désert dans l'espoir de voir un ovni au sol. Après un léger pique-nique, le groupe scruta le ciel. C'est alors que "volant haut et sans bruit, apparut un gigantesque engin argenté en forme de cigare, sans ailes ou appendices d'aucune sorte Pris d'une intuition, Adamski demanda à quitter la route. Deux des personnes présentes l'accompagnèrent sur un chemin de terre, puis Adamski renvoya ses compagnons à l'endroit où ils étaient auparavant pour qu'ils y poursuivent leur observation. Comme ils repartaient, d'autres engins apparurent qui tentèrent d'encercler celui de très grande taille Le vaisseau bascula vers le haut et repartit dans l'espace Adamski vit peu après un éclair dans le ciel et" un magnifique engin qui semblait flotter au-dessus d'un col entre deux cimes montagneuses". Puis Adamski réalisa qu'un' homme lui faisait signe du haut d'un ravin situé 410 mètres plus loin Ce n'est qu'arrivé près de lui qu'il se rendit compte qu'il faisait face à un visiteur d'un autre monde. "Sa beauté surpassait tout ce que j'avais déjà vu", écrivit-il plus tard. L'homme mesurait environ 1 m 50 pour 60 kg et semblait avoir en termes terrestres 28 ans. Une chevelure ondulée, de couleur blond roux, lui tombait sur les épaules. Sa peau était celle d'un blanc bronzé. Il avait un front très haut, "des yeux gris-vert, calmes" et légèrement bridés, des pommettes saillantes et un nez "finement ciselé". Il semblait être imberbe. L'extraterrestre portait une tenue d'une seule pièce, de belle texture et d'une couleur brun chocolat, sans attaches ou poches visibles, avec une large ceinture et un grand col moulant. Ses chaussures étaient rouge sang, avec des pointes arrondies. Grâce à un mélange de langage par signes et de télépathie, l'extraterrestre affirma venir de la planète Vénus. Les Vénusiens étaient sur terre car ils s'inquiétaient de ce que la Terre puisse être détruite par des radiations nucléaires. Le Vénusien refusa d'être pris en photo, de peur d'être reconnu. Il affirma que certains de leurs engins avaient été abattus par "les hommes de ce monde" et qu'un jour viendrait où ils pourraient atterrir franchement. Il permit à Adamski de s'approcher de la soucoupe qui était en vol stationnaire à côté d'eux, mais pas d'y entrer. Puis le Vénusien remonta à bord, et l'engin repartit en planant silencieusement 1954 UN OBJET DANS LES COULOIRS AERIENS Quittant l'aéroport new-yorkais Idlewild (aujourd'hui rebaptisé John F, Kennedy), le
boeing Stratocruiser Centaurus de la British Overseas Airways Corporation avançait
lentement (415 km/h) à une altitude de 5700 mètres vers Newfoundland pour une escale de
ravitaillement avant de franchir l'Atlantique et gagner l'Angleterre. Les ovnis suivirent le Stratocruiser à 5 km de distance durant 20 minutes, observant la même allure que lui, et furent contemplés par l'équipage et les trente passagers. Lorsque le Sabre s'approcha, les six objets plus petits se mirent en ligne et se fondirent un à un dans le plus grand. Celui-ci commença alors à rapetisser. Lorsque le Sabre fut arrivé, l'ovni s'était évanoui. 1954 VAGUE D'ATTERRISSAGE EN FRANCE On transmit aux autorités françaises, entre la mi-septembre et novembre 1954, au moins 156 rapports au sujet d'ovnis observés alors qu'ils atterrissaient ou ètaient dèjà posès au sol. En voici un èchantillon. -10 septembre, Quaroubles: à 22 h 30, Marius Dewilde fut dérangé par les hurlements de son chien. Dehors, il vit des êtres sans bras, hauts de 1 m, "qui avançaient lentement sur leurs jambes très courtes". D'une "forme" proche darda un rayon de lumière blanc-vert qui le paralysa. Les êtres rentrèrent dans la forme, laquelle se leva dans un bruit de sifflement et s'envola vers l'est, en èmettant une lueur rouge. L'on découvrit plus tard des marques au sol qui, d'après les calculs d'un ingénieur, ne pouvaient être que le fait d'un objet lourd de 30 tonnes. D'autres témoins virent ègalement la lumière rouge. -.2 octobre, Croix d'Épine: le mècanicien Ernest Delatre (19 ans) rentrait chez lui en scooter lorsqu'un ovni orange de forme ovoïde, brillant vivement, de la taille d'un petit bus, atterrit sur la route. Il vit des formes sombres " ressemblant à des sacs à patates" se déplaçant à côté. Comme il approchait, l'ovni dècolla, changeant de couleur pour devenir bleu. Deux autres témoins de villages voisins signalérent eux aussi l'ovni. -4 octobre, Poncey: Mme Fourneret et son fils virent un " corps" allongé émettant une lumière orange, large de 3 mètres, atterrir à 18 mètres de leur maison. Ils s'enfuirent. Peu après, des voisins armés investirent le lieu et découvrirent un grand trou, tout rècent, dont l'apparence laissait penser que la terre en avait ètè aspirèe. On ne trouva nulle part la terre manquante. -20 octobre, Turquenstein: Jean Schoubrenner roulait à proximité du village lorsqu'une immense lumière brilla sur la route devant lui. Lorsqu'il fut à 18 mètres de distance de celle-ci, il se sentit paralysé et le moteur de son véhicule cessa de fonctionner. Il sentit une chaleur se répandre dans son corps. L'ovni s'envola quelques secondes plus tard, et lui et son véhicule retrouvèrent la normalitè. Il n'y eut pas d'apparitions dans les grandes agglomérations urbaines. 15% seulement des rapports d'atterrissage furent faits par des témoins uniques. Il semblerait que quelque chose de plus qu'un simple phénomène psychologique ait été à loeuvre. 1955 LE DOMICILE DES SUTTON ASSIEGE À la ferme des Sutton, il y avait cette nuit-là huit adultes et trois enfants. Billy Ray Taylor et sa femme June étaient venus rendre visite à Elmer, le plus âgé des deux fils Sutton. Vers 19 heures, Billy sortit dans la cour pour tirer de l'eau au puits. Il vit alors un gigantesque objet, "vraiment brillant,mais d'où s'échappaient toutes les couleurs de l'arc-en-ciel ", atterrir dans un ravin asséché tout proche. Lorsqu'il revint dire aux Sutton ce qu'il avait vu, personne ne se soucia d'aller y jeter un coup d'oeil. Une heure plus tard, le chien commença à aboyer dans la cour. Elmer et Billy Ray,
suspectant des intrus, se saisirent de leurs armes et se postèrent à la porte de la
cuisine. Ils virent lentement s'approcher de la maison un petit homme "brillant"
dont les mains étaient au-dessus de la tête. Ils firent feu. Le petit personnage culbuta
en arrière sous l'impact des balles, qui le touchèrent en faisant un bruit "comme
si l'on avait tiré dans un seau ". Puis il s'enfuit. Les créatures, lorsqu'elles se tenaient debout, faisaient toutes un petit peu plus de 1 métre. Elles avaient des têtes arrondies, en forme d'oeuf, de très grands yeux jaunes largement espacés et d'immenses oreilles rappelant celles des éléphants. Leurs bras, longs et minces, se terminaient par des mains comme des griffes. Leurs corps étaient droits, fluets, d'une couleur argentée qui semblait briller de l'intérieur. Cette lumière interne s'intensifiait à chaque fois qu'on leur tirait dessus ou qu'on criait dans leur direction. La famille apeurée s'enferma dans la maison. Pour finir, après environ trois heures durant lesquelles les intrus regardaient de temps en temps au travers des fenêtres, les huit adultes et les trois enfants coururent jusqu'aux deux voitures de la ferme et roulèrent jusqu'à Hopkinsville, à 11 km sur la route 41, afin d'alerter la police. Six officiers, dont le chef de la police locale, retournèrent à la ferme avec la famille et examinérent les lieux, sans trouver trace des visiteurs. Ils s'en allèrent vers 2 heures du matin, et la famille se coucha. Les créatures revinrent alors, entourant la maison et regardant par les fenêtres. Elles essuyèrent encore quelques coups de feu avant de se retirer vers 5 h 15
1956 UN APPAREIL D'ORIGINE INCONNUE Les bases de la Royal Air Force de Bentwaters et
de Lakenheath étaient toutes deux louées à l'United States Air Force. Tout appareil
inconnu venant de l'est en survolant la mer du Nord était considéré comme
potentiellement hostile. La nuit du 13 au 14 août, plusieurs ovnis volant à des vitesses
prodigieuses furent tour à tour repérés simultanément par six radars militaires. La
dernière intrusion fut la plus spectaculaire. 1957 ACCOUPLEMENT AVEC UNE EXTRATERRESTRE Âgé de 23 ans. Antonio Villas Boas vivait avec ses parents, ses frères et ses belles
soeurs dans une petite ferme. La nuit du 15 au 16 octobre 1957, il était dehors, seul,
labourant les champs à la lumière des phares de son tracteur. Vers 1 heure du matin,
Villas Boas vit une "grande étoile rouge. descendre du ciel vers le bout du champ
où il tra-vaillait Comme la lumière rouge était descendue environ 45 mètres au-dessus de
lui, il put voir qu'il s'agissait d'un objet en forme d'oeuf. Sa lueur éclipsa les
lumières de son tracteur lorsqu'il atterrit à 15 mètres de Boas. Des lumières pourpres
ceignaient son pourtour. Trois éperons, éclairés d'une lumière rouge,se trouvaient à
l'avant Cinq petits êtres s'y trouvaient: deux d'entre eux le surveillaient attentivement Ils portaient des combinaisons moulantes, d'une texture fine et douce, irrégulièrement rayées de gris. et de grands et larges casques renforcés de bandes de métal. Des tuyaux sortaient de leurs casques pour disparaÎtre dans leurs vêtements, deux allant sous chaque aisselle et le troisième partant dans le dos. Des "chaussures" aux épaisses semelles semblaient faire partie intégrante de leur costume, de même que des gants épais et apparemment peu maniables. Tout ce que Villas Boas put voir du visage des créatures malgré leur casque, furent leurs petits yeux bleu pâle. Il fut ensuite conduit dans une autre pièce brillante, de forme ovale cette fois. Les extraterrestres tentèrent alors de communiquer avec lui, par de lents aboiements et jappements qui n'étaient ni vraiment clairs ni vraiment rauques, certains plus longs, d'autres plus courts, et il semblait parfois qu'il y avait plusieurs sons diffèrents tous ensemble.. La communication échouant, les extraterrestres déshabillèrent alors Villas Boas. L'une des créatures lui frotta l'épiderme à l'aide d'une chose humide ressemblant à une éponge et on lui fit passer encore une autre porte. Au-dessus de celle-ci se trouvaient des "lettres" rouges qu'il devait plus tard reproduire à l'intention des enquêteurs. Dans cette chambre, chichement meublée de quelques chaises et d'une couche, les extraterrestres prirent "une sorte de calice."pour recueillir un échantillon de son sang. Après quoi ils partirent Une étrange odeur régnait dans la pièce, qui le fit vomir. Une demi-heure plus tard, la porte s'ouvrit, laissant entrer une femme nue, qui était, selon Boas, "plus splendide que toutes celles que j'ai jamais vues". Elle lui arrivait à l'épaule. Ses cheveux étaient partagés par une raie centrale et lui tombaient à la moitié du cou. Ils étaient lisses et blonds. Sa toison pubienne, elle, était d'un rouge vif. Elle avait un menton pointu, des pommettes saillantes, un nez droit et de grands yeux bleus. Son corps, d'après Villas Boas, était "svelte, et ses seins étaient hauts et bien séparés. Elle avait la taille étroite, le ventre plat et les cuisses larges.. Il continue: "Nous finimes sur la couche, où nous demeurâmes ensemble une première fois Il s'agissait d'un acte normal et elle réagit comme aurait fait n'importe quelle autre femme. Puis nous eûmes encore des attouchements, suivis d'un second acte, mais dès lors elle commença à se refuser, mettant un terme à notre relation." Antonio sentit la colère monter en lui quand il comprit que "tout ce qu'ils voulaient, c'était un bon étalon pour améliorer leur haras". Avant de s'en aller, elle désigna son ventre puis le ciel, comme pour lui signifier qu'elle accoucherait de leur enfant sur sa propre planète. Après cela, Villas Boas récupéra ses vêtements et on lui fit visiter l'astronef, visite durant laquelle il tenta en vain de dérober un instrument. Il fut ensuite reconduit au sol. L'ovni décolla en penchant légèrement d'un côté. Il disparut dans le ciel comme un boulet de canon. Antonio était resté àbord de l'engin durant 4 heures et 15 minutes.
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LE MONDE DE L'ETRANGE |