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1958 LES PHOTOS DE L'ILE TRINDADE

Le navire-école Almirante Saldhana. commandé par le capitaine Carlos Bacellar, observait les eaux autour de l'Île Trindade (à 1210 km au nord-est de Rio de Janeiro) dans le cadre de l'Année géophysique internationale. Parmi l'équipe technique civile à bord se trouvait le photographe Almiro Barauna.13.jpg (148562 octets)
La version courante est que, juste après midi, comme le navire s'apprêtait à appareiller, deux des civils remarquèrent une vive lumière se dirigeant vers l'île et crièrent à Barauna de la photographier. En moins de vingt secondes, il prit six clichés tandis que l'ovni s'approchait, tournait derrière le mont Desegado, réapparaissait puis s'en allait. Par deux fois, il rata l'ovni. La plupart des quarante-huit membres d'équipage contemplaient le spectacle depuis le pont. Le capitaine Bacellar, qui se trouvait dans l'entrepont durant l'apparition, insista pour que les clichés soient immédiatement développés et improvisa une chambre noire, prenant toutes les précautions nécessaires pour que Barauna ne puisse altérer la pellicule.


1959 EXTRATERRESTRES AMICAUX CHEZ LES PAPOUS

En 1959, il y eut soixante-dix-neuf rapports de phénomènes ovni en Papouasie-Nouvelle-Guinèe, et soixante et un d'entre eux furent ètablis en juin et juillet. Les plus frappants furent les trois dont fut témoins un missionnaire, le Révèrend William Bruce Gill, ainsi que trente-sept autres personnes durant trois soirs d'affilée.
À 18h45, le 26 juin, le Révérend Gill était au grand air. Il remarqua Vénus dans le ciel, visible parmi l'amoncellement de nuages bas  ainsi que, au-dessus d'elle, un "objet étincelant.. Il était très brillant et, quelque temps après, descendit en direction de la mission. Gill appela deux des membres de la mission, qui furent bientôt rejoints par d'autres, afin qu'ils voient l'ovni. Il ètait circulaire avec une large base de laquelle sortaient quatre .pieds.. De temps en temps, un rayon de lumière bleue partait obliquement de l'engin vers le ciel. Puis, quatre hommes apparurent sur le pont supérieur de l'ovni. Durant les 15 minutes qui suivirent, ils se déplacèrent à bord de l'ovni, sans être toujours tous visibles. À 19 h 10, les nuages masquèrent complètement le ciel. L'ovni demeura visible en dessous durant dix autres minutes puis s'éleva dans les nuages. Un peu plus d'une heure plus tard, un ovni réapparut et se tint en vol stationnaire au-dessus de la mission. Peu après, des ovni plus petits se mirent à "aller et venir au travers des nuages". La lumière émanant des objets était reflétée par les nuages tandis qu'ils se déplaçaient. Les ovnis continuèrent à aller et venir durant environ deux autres heures.

Le 27 juin, alors que la nuit tombait, une infirmière de l'hôpital de la mission vit un ovni et appela Gill: lui et douze autres personnes se déplacèrent pour venir voir. De nouveau, quatre silhouettes apparurent sur le pont supérieur de l'ovni. L'une d'elles .semblait regarder vers le bas, en notre direction., et Gill estima bon de lui faire signe de la main. La silhouette lui rendit son salut. D'autres personnes au sol suivirent l'exemple de Gill, et bienôt les quatre occupants de l'ovni firent tous signe. Gill tenta de faire des signaux lumineux à l'aide d'une torche, pour les inciter à atterrir, mais il n'obtint en retour que des signes de la main et les silhouettes rentrèrent à l'intérieur de l'ovni. Peu de temps après, à18h30,"un peu las. de ce que les ufonautes n'aient pas tenté d'atterrir, Gill quitta les lieux pour dîner. Ce soir-là, des ovnis furent vus dans trois autres villages des environs.

Le 28 juin, d'environ 18h45 à 23h20, les ovnis réapparurent, jusqu'à huit à la fois par moments. Mais ils restèrent pour la plupart hauts dans le ciel et nulle silhouette ne put être distinguée sur celui qui survola la mission à basse altitude.


1961 OVNI SUR CAP CANAVERAL

Juste après le décollage de la fusée Polaris depuis Cap Canaveral, un lancement expérimental télédiffusé dans tout le pays, un "inconnu  apparut sur les radars de dépistage, s'approchant de Polaris. la signature radar de l'ovni était si forte, et l'objet s'approchait de si près de la fusée américaine, que le radar automatique du site de lancement accrocha l'ovni au lieu de la fusée expérimentale. Après avoir suivi Polaris quelques minutes, l'ovni s'éloigna et quitta l'écran radar. Bien que cet épisode soit narré en son intégralité dans le journal de vol du lancement de la NASA, aucune explication officielle de cette interférence radar ne fut jamais rendue publique.


1961 DES CRATERES EN CARELIE

Le garde-forestier Vasili Bradski découvrit un cratère de 30 mètres de long, 15 mètres de large et 3 mètres de profondeur, près d'un lac gelé. Ce cratère n'était pas là lorsqu'il avait visité l'endroit deux jours plus tôt et il n'y avait aucune trace des tonnes de terre qui manquaient. Près du cratère, la fine glace recouvrant le lac était brisée.11.jpg (86543 octets)

Une équipe de six enquêteurs vint de Leningrad et trouva des boulettes noires qui s'effritaient, comme des graines de sarrasin, au bord du lac. Elle remarqua également que le dessous de la glace brisée était vert. Des plongeurs découvrirent deux traces longues de 100 mètres au fond du lac, l'une près du rivage, l'autre au centre du lac. L'affaire fut étudiée à l'université de Leningrad par le professeur Vsevolod Charmov. les échantillons d'eau, de terre et de glace étaient normaux, mais rien ne pouvait expliquer la coloration verte. Les boulettes noires présentaient d'inhabituels reflets métalliques et ne se dissolvaient pas dans l'acide.


1961 TROIS CREPES MYSTERIEUSES

En 1961, Joe Simonton, un aviculteur de 60 ans, vivait seul dans sa bicoque aux abords d'Eagle River, dans le Wisconsin. le shérif Schroeder, qui connaissait Simonton depuis quatorze ans, dit qu'il "croyait manifestement à la véracité de ce qu'il racontait. sur son unique rencontre rapprochée avec des êtres non identifiés.
Simonton prenait son petit déjeuner vers 11 heures lorsqu'il entendit un bruit semblable à "des pneus bosselés sur une route humidE3. Il vit par la fenêtre un objet argenté atterrissant dans sa cour. Il était "plus brillant que le chrome" et faisait environ 3,5 m de haut et 9 mètres de diamètre. Il avait la forme de deux bols inversés avec des tuyaux d'échappement autour du bord. Simonton sortit et s'approcha de l'engin alors qu'il s'arrêtait. en vol stationnaire juste au-dessus du sol. Une écoutille s'ouvrit et il vit dedans trois hommes glabres qui mesuraient environ l,50 m, aux cheveux noirs, "ressemblant à des Italiens".

Ils portaient des tenues noires avec des hauts à col roulé et des casques tricotés. l'un d'eux tendit à Simonton un pot avec deux anses, lui faisant signe qu'il voulait à boire. Simonton rentra chez lui, remplit d'eau le récipient et retourna à l'engin, où un autre homme était désormais en train de faire cuire de la nourriture sur un gril sans flamme apparente. Simonton remarqua que l'intérieur de l'appareil ètait "de la couleur du fer brut", et contenait plusieurs tableaux de bord. Il fit un geste pour leur signaler qu'il aimerait avoir un peu de nourriture en échange de son eau, et on lui offrit trois crêpes d'environ 7,5 cm de diamètre. l'un des occupants ferma l'ècoutille, et l'engin s'éleva doucement à 6 mètres du sol puis fila en direction du sud, provoquant un tel coup de vent que les sapins à proximité s'en courbèrent. la rencontre n'avait pas duré plus de cinq minutes. Simonton rapporta l'événement à un ami qui était juge du comté et membre de la Commission nationale d'enquêtes sur les phénomènes aériens (NICAP), et qui envoya au NICAP et à l'USAF deux crêpes pour analyse. Simonton goûta la troisième et affirma qu'elle avait un goût de 'carton".


1961 VERSION SOUS HYPNOSE

12.jpg (149624 octets)Le 19 septembre 1961, près de Lancaster (Canada), Betty et Barney Hill, âgés respectivement de 41 et 39 ans, firent une extraordinaire rencontre qui devint le plus célèbre cas d'enlèvement de l'histoire des ovnis.

 

 


1961 OVNIS EN ETAT DE LEGITIME DEFENSE

Durant l'été 1961, des missiles défensifs furent installés autour de Moscou. À l'une des bases, un radar détecta un ovni, volant à une altitude de 18000 mètres et escorté d'ovnis plus petits. Le commandant de la base de Rybinsk répondit par une salve de missiles. Les ovnis escorteurs descendirent en direction de la base, dont l'équipement électrique cessa alors de fonctionner. Les missiles explosèrent bien avant d'atteindre leurs cibles. Lorsque les ovnis rejoignirent leur. vaisseau-mère", l'énergie revint dans la base de missiles.


1963 LES PHOTOGRAPHIES DE PAUL VILLA

10.jpg (56555 octets)Le mécanicien Paul Villa, alors âgé de 49 ans, prétendit que l'engin présent sur le cliché qu'il prit le 18avril 1963 contenait trois êtres avec lesquelles il conversa, Deux mois plus tard, il photographia un ovni différent qui, disait-il, avait à son bord neuf entités originaires de Coma Berenices qui lui rendirent visite durant une heure et demie.

Villa vivait à Los Lunas, Nouveau-Mexique, Il prit de nombreuses photos d'ovnis, qu'il envoyait, accompagnées d'une littérature "pertinente", à des politiciens et à des "gens simples' dans l'espoir qu'ils pourraient s'en servir pour aider "les prisonniers, les orphelins, les malades, les pauvres et les personnes âgées". 9.jpg (297948 octets)Villa croyait que les ovnis n'étaient "qu'une petite partie des immenses armées de Dieu" qui envahiraient la Terre et" rachèteraient l'humanité de sa présente condition, immorale et déchue ". Des analyses classiques menées par le projet Blue Book et des tests informatiques effectués par le Ground Saucer Watch révélèrent que les clichés de Villa avaient été truqués avec des modèles réduits. Les enquêteurs conclurent que Villa était persuadé d'avoir été en contact avec des extraterrestres et qu'il avait fabriqué ces images pour convaincre de l'authenticité de ses expériences.


1963 LE SIEGE DE TRANCAS

L'Argentine était alors prise dans les remous politiques succédant aux victoires électorales qui laissèrent le pouvoir aux mains des militaires et irritèrent grandement l'opposition péroniste.

Le ranch isole de Santa Teresa, près de Trancas, etait tenu par la famille Moreno, un couple et leurs trois filles adultes, Yolie ,Yolanda et Argentina. Ils vivaients seuls dans la ferme avec leur servante, Dora Martina Guzman, âgée de 15 ans. Vers 19 heures, le générateur électrique cessa de fonctionner. À 20 heures, toute la famille, hormis Yolié, etait partie se coucher. Vers 21 h 30, Dora Martina alla frapper à la porte de Yolié: elle était effrayée par d'étranges lumieres à l'extérieur. Yolié alla chercher Yolanda, et toutes deux  sortirent pour voir ce qui se passait. Les uns virent ce qui leur sembla être un petit train vivement lumineux sur la voie de chemin de fer située à 180 métres à l'est de la maison. Un examen plus soutenu révéla deux disques fortement brillants reliés par un tube lumineux. Une quarantaine de silhouettes, apparemment humaines, se déplaçaient à l'intérieur du tube. Les deux femmes se dirent que les guérilleros avaient dû faire dérailler un train. Elles retournèrent à la ferme, se vêtirent chaudement et sortirent à nouveau, cette fois accompagnées de Dora Martina qui s'était munie du Colt 38 qu'elle gardait pour se défendre.

Près de la porte principale, elles virent une pâle lumière verte. La torche de Yolié révéla un objet métallique en forme de disque, surmonté d'un dôme, qui planait dans l'air, se balançant doucement. Il faisait 9 mètres de diamètre et possédait neuf hublots. Soudain, une bande de lumière multicolore se mit à tourner à l'intérieur des hublots de l'ovni et une brume blanche commença à se former autour de lui. Il y avait une nette odeur de soufre. Puis, un éclair de feu sortit de l'ovni, couchant le trio à terre. Les lumières de trois autres disques apparurent sur la voie de chemin de fer. L:ovni le plus proche, désormais masqué par la brume, projeta un rayon lumineux d'apparence "solide", qui s'étendit lentement en forme de tube. Il toucha la maison et commença à la sonder. Depuis la voie ferrée, des doubles "tubes" de ces étranges lumières se mirent à avancer et quelques minutes

plus tard leurs extrémités s'arrêtérent juste en face des diverses dépendances. Les rayons étaient parfaitement cylindriques et mesuraient environ 3 mètres de large Les femmes rentrèrent rapidement chez elles. Leurs parents étaient réveillés. La température à l'intérieur avait monté, dépassant les 37.C, et l'odeur de soufre était omniprésente. Tous éprouvaient brûlures et démangeaisons sur la peau tandis qu'effrayés ils contemplaient les ovnis. Le rayon qui émanait du plus proche d'entre eux s'orienta en direction de Trancas. Il lui fallut au moins 10 minutes pour atteindre les abords du village puis, incroyablement, il revint vers le ranch en effectuant un mouvement en forme de U. Puis l'ovni "replia" le tube de lumière, s'éleva et rejoignit les cinq autres disques brillants de la voie ferrée. Tous les six montèrent et mirent le cap à l'est, en direction des montagnes de la Sierra Medina.
L:épisode avait duré peut-être 45 minutes. Une fois les disques partis, les Moreno s'aventurèrent à l'extérieur. Ils remarquèrent que la brume engendrée par le plus proche des ovnis était toujours dans l'atmosphére et que l'odeur de soufre persistait. Le jour suivant, des visiteurs noteront que cette odeur était encore très forte dans la maison. Là où l'ovni avait effectué son vol stationnaire se trouvait une pile conique, haute de 1 mètre, de sphères blanches. Des sphères identiques se trouvaient sur la voie ferrée.


1964 L'ATTERRISSAGE DE SOCORRO

Environ six heures après l'étrange rencontre de Wilcox dans l'État de New York, une autre rencontre rapprochée se produisit au Nouveau-Mexique. Vers 17 h 45, l'agent de police Lonnie Zamora, en service à bord de sa voiture de patrouille Socorro Il, donna la chasse à une Chevrolet noire en excès de vitesse. La poursuite continua vers le sud, hors de la ville. Puis Zamora entendit un fort grondement en même temps qu'il vit sur sa droite une flamme dans le ciel. Il savait que dans les environs se trouvait une cabane contenant de la dynamite et pensa qu'elle avait explosé. Il abandonna la poursuite et quitta la route pour emprunter un chemin de terre qui franchissait une crête et continuait aprés la cabane. La flamme bleue et orange, ne dégageant aucune fumée, longue et étroite descendait maintenant vers le sol.

8.jpg (54944 octets)Zamora descendit lentement l'autre versant de la crête. Le bruit s'était arrêté et la flamme avait disparu. Il remarqua soudain "un objet de nature brillante au sud ", situé entre 90 et 180 mètres de la route, dans un petit ravin au-dessous de lui. "Cela ressemblait, déclara dans la journée Zamora à l'agent du FBI Arthur Byrnes Jr, à une voiture mise sens dessus dessous... posée sur son radiateur ou son coffre." Près de l'objet se trouvaient "deux personnes en combinaisons blanches... L:une d'entre elles sembla se tourner dans ma direction et fixer ma voiture. Elle sembla s'en alarmer, parut brusquement sursauter ". Elles avaient l'air "de forme normale mais peut-être s'agissait-il de petits adultes ou de grands gamins". Zamora contacta par radio le sergent Sam Chavez de Socorro, et s'approcha à pied à moins de 30 métres de l'objet. Il vit qu'il était ovale et lisse, sans hublots ni portes, posé sur des pieds évoquant des poutres, et remarqua un sigle rouge (large d'environ 75 cm) sur le côté de l'appareil. Puis le grondement recommença. faible au début, augmentant
rapidement jusqu'à devenir "très fort". 7.jpg (140122 octets)L:objet émit des flammes et fit énormément de bruit. Il n'y avait plus aucune trace des "personnes" qu'il avait vues auparavant.
Zamora pensa que l'objet pourrait exploser, et courut jusqu'au sommet de la crête, dépassant sa voiture. Le grondement cessa, et il se retourna pour voir l'ovni "s'éloigner de moi en direction du sud-ouest... à peut-être 3 ou 4,5 m du sol, et il passa à environ 1 mètre de la cabane à dynamite". L'ovni, qui filait maintenant très vite mais n'émettait désormais plus de son ni de flammes, s'éleva et s'en alla. Il franchit une montagne au loin et disparut.


1965 LE SECOND RAID SUR WASHINGTON

La fameuse panique. du milieu de l'hiver 1964-1965 au-dessus de Washington DC dura presque deux mois, mais trois événements se détachent nettement de l'ensemble.
Le premier se produisit le 21 décembre, alors que Horace Burns roulait entre Staunton et Waynesboro sur la US 250. Sa voiture cala lorsqu'un immense ovni en forme de cône se mit à planer au-dessus de la route avant d'atterrir dans un champ proche. L'ovni était surmonté d'un dôme et émettait une lueur bleue. Au bout de quelques minutes, il redécolla et disparut du champ de vision de Burns. Des tests effectués par le professeur Ernest Gehman et des ingénieurs de la Compagnie Du Pont révélèrent un haut taux de radiations à l'endroit où l'ovni s'était posé. L'enquête de l'USAF, effectuée après trois semaines de pluie, de neige et de visites inopportunes rendues au champ par des curieux, ne révéla pas de traces semblables, et conclut que l'apparition était un .mirage..

Mais, moins d'un mois plus tard, deux automobilistes faisant route dans la direction opposée le long de la US 60, près de Williamsburg (Virginie), rapportérent avoir observé un ovni identique.
Fin décembre, trois ovnis furent traqués par un radar local: ils filaient à une allure qui semblait être de 7700 km/h. L'U5AF prétendit que ces spots anormaux n'étaient pas le fait d'ovnis mais d'un. appareillage défectueux". Puis, le 11 janvier, six ingénieurs du Corps des transmissions de l'Armée qui se trouvaient dans le bâtiment des munitions, vers le centre de Washington, virent six ovnis en forme de disques zigzaguer dans le ciel de la ville en direction du Capitole, poursuivis par deux jets d'interception à ailes delta. Les ovnis distancèrent rapidement les jets et disparurent du champ de vision. Des journalistes de la presse écrite tentèrent d'en savoir plus sur cette affaire auprès du ministère de la Défense, mais les officiels, civils et militaires, leur dirent que cette traque .n'avait jamais eu lieu".


1965 DES EXTRATERRESTRES FLOTTANTS

Vers 18 h 15, le dessinateur industriel William Blackburn coupait du bois près du terrain couvert de neige appartenant au club d'Augusta lorsqu'il vit une pyramide ou un objet en forme de cône descendre du cie! en direction du sud. Cet ovni demeura ensuite stationnaire à une altitude estimée à   à 900 mètres. Blackburn évalua son diamètre supérieur à 60 mètres. Tandis qu'il observait un ovni plus petit, d'environ 18 mètres de diamètre, atterrit à15 mètres de lui. Sa surface était polie comme celle d'un miroir. 6.jpg (103223 octets)Au sommet se trouvait une cloche  qui fit à Blackburn une impression "plutôt étrange. lorsqu'il l'observa. Une ouverture apparut sur le flanc de l'ovni, .comme si quelqu'un en avait retiré une part de tarte t, et trois humanoïdes en sortirent en flottant: leurs pieds ne touchèrent jamais le sol. Ils s'approchèrent à moins de 11 mètres de Blackburn et émirent divers sons inintelligibles. Ils étaient hauts d'environ 1 mètre mais, à part ce détail, ils ressemblaient à des humains ordinaires. Blackburn, pétrifié, ne leur répondit pas et les êtres retournèrent en flottant dans leur engin. Puis, les deux ovnis partirent rapidement. Il n'y avait pas de traces dans la neige. Peu après que l'histoire de Blackburn soit publiée dans le journal local, The Waynesboro News-Virginian, une voiture dotée de plaques d'immatriculation du gouvernement fédéral apparut en ville: les habitants affirmèrent qu'elle était visible comme le nez au milieu de la figure. Blackburn fut apparemment. sévèrement mis en garde. par des agents gouvernemen-taux (appartenant à un organisme qu'il ne voulut pas citer) de ne plus rien dire au sujet de son expérience.


1965 RENCONTRE DANS LA LAVANDE

Maurice Masse avait 41 ans en 1965. C'était un fermier cultivant de la lavande sur un terrain situé à environ 1 600 mètres de la maison où il vivait avec sa femme et ses deux enfants. Le 1" juillet à 5 heures du matin, il se mit en route pour le travail. À 5 h 45, avant de démarrer son tracteur, il entendit un bruit de sifflement qu'il prit pour celui d'un hélicoptère militaire. Il avait l'habitude de voir des hélicoptères atterrir dans ses champs au cours d'exercices et bavardait souvent avec les pilotes.
Masse s'avança parmi les rochers et vit une .machine. au milieu des buissons de lavande, environ 90 mètres plus loin. Elle était en forme de ballon de rugby et surmontée d'une coupole, d'une largeur comprise entre 3 et 3,50 m pour environ 2,50 m de haut. Elle se tenait sur six pieds, reliés à un pylône central ressemblant d'après lui, là une énorme araignée..

5.jpg (69806 octets)À côté de l'objet se trouvaient deux personnages grands comme des petits garçons, penchés sur un buisson de lavande. Masse avait déjà vu ses plantations saccagées et pensa être en présence des coupables. Il s'approcha prudemment d'eux. Comme il arrivait non loin des êtres, il s'aperçut qu'ils n'étaient pas humains: hauts d'environ 1 mètre, la peau blanche, ils avaient des têtes qui,proportionnellement à leurs corps, faisaient trois fois celle d'un humain. Ils avaient de larges oreilles, des pommettes saillantes et charnues, de gros yeux obliques et sans paupières. pas de menton et une cavité circulaire en guise de bouche. Ils portaient des costumes gris-vert d'une seule pièce et étaient chauves. Ils remarquérent la présence de Masse lorsqu'il fut à 8 mètres d'eux. Manifestement inquiet, l'un d'eux sortit de sa ceinture un petit cylindre qu'il pointa en direction de Masse, lequel resta cloué sur place, incapable de bouger. Les deux créatures l'observèrent quelques instants,échangeant entre eux des sons gutturaux.4.jpg (312525 octets) Il n'eut pas l'impression qu'ils étaient hostiles. Les deux êtres retournèrent ensuite à leur engin, y pénétrant par une porte coulissante. Le bruit de sifflement recommença et l'engin plana briévement tandis que ses pieds commençaient à tourner, puis il fila vers l'ouest à vive allure.

Masse ne recouvrit sa capacité de mouvements qu'un quart d'heure plus tard.
Lorsque cela se produisit, il alla immédiatement examiner l'endroit où l'ovni
s'était posé et remarqua diverses marques au sol, ainsi qu'un trou d'environ 30cm de profondeur là où avait stationné le pylône central de l'engin. La terre tout autour était détrempee. Plus tard dans la journée, il nota qu'elle s'était rapidement durcie jusqu'à avoir la consistance du ciment


1965 TRIANGLE VERT

Les astronomes Robert et Esmerelda Vitolniek et Yan Melderis racontèrent avoir vu un ovni vert et triangulaire ressemblant à une étoile. Examinant l'objet de plus près grâce au télescope de l'observatoire, ils s'aperçurent que l'ovni était composé de trois boules vertes en formation triangulaire autour d'une lumière centrale plus vaste. La sphère centrale fut estimée à 90 mètres de diamètre et l'on évalua sa hauteur à 100 km, mais les observateurs furent dans l'incapacité de fournir une explication à ce qu'ils virent.


1965 LE CAUCHEMARD DU ROUTIER

Le camionneur Don Tenopir, du Nebraska, faisait route au nord vers Abilene avec un chargement de céréales. Vers 1 h 30, un ovni descendit du ciel au-dessus de son camion puis se posa sur la route devant lui. Une voiture, venant en sens inverse, contourna l'engin et s'arrêta dans un crissement de pneus. Tenopir écrasa la pédale de frein. Ses phares cessèrent de fonctionner, bien que son semi-remorque GMC Diesel continuât de rouler: l'ovni se déplaça et les phares du camion se remirent en marche. Tenopir pouvait maintenant voir l'objet: un disque (surmonté d'une coupole) d'environ 4 mètres de diamètre, stationnant à quelques mètres du sol. Il y avait des fenêtres carrées sur le dessus. Mort de peur, Tenopir ne bougea pas de sa cabine, mais le conducteur de la voiture en sortit et s'approcha de lui. Avant qu'ils ne puissent s'entretenir, l'ovni projeta des étincelles d'où il était et décolla avec grand bruit. Les deux conducteurs s'enfuirent. Tenopir raconta l'incident à la police d'Abilene, mais ni la ville, ni l'État, ni le gouvernement ni les autorités militaires n'y donnèrent jamais suite. L'affaire ressemble d'intéressante manière à la rencontre qui se produisit dans le Hampshire (Angleterre) en novembre 1967


1965 L'INCIDENT D'EXTER

L'automne 1965 connut une vague d'observations d'ovnis dans et autour d'Exeter (New Hampshire). Le plus spectaculaire de ces événements se produisit le 3 septembre et fut observé par l'adolescent Norman Muscarello et les agents de police Eugene Bertrand et David Hunt
Vers 1 h 30, le policier Bertrand contrôlait une voiture en stationnement. La conductrice était très angoissée et lui affirma qu'elle était suivie depuis 19 km par un ovni immense et silencieux qui avait fini par disparaître à une incroyable vitesse. Incrédule, Bertrand ne releva pas le nom de la femme et ne lui demanda pas de détails mais, lorsqu'il alla faire son rapport au commissariat peu après, il y rencontra un certain Muscarello (18ans) qui venait justement narrer une3.jpg (111698 octets)
rencontre similaire, faite sur la route 150. Les deux hommes retournèrent à l'endroit en question, où ils constatèrent que le phénomène se poursuivait. Bertrand rapporta. "Un groupe de cinq lumières rouges surgit de derrière un bosquet d'arbres proche de nous. Elles étaient extrêmement brillantes et jetaient des éclairs à tour de rôle. Les lumières commencèrent à se déplacer autour et au-dessus du champ. À un moment, elles s'approchèrent si près que je tombai à terre et commençai à sortir mon arme. Les lumières étaient si vives que je ne parvenais pas à distinguer de formes. Il n'y avait pas de bruit ou de vibration, mais les animaux de la ferme étaient bouleversés et faisaient pas mal de bruit... M. Muscarello et moi-même courûmes jusqu'à la voiture. [À 2 h 55], j'envoyai un message radio à l'agent David Hunt qui arriva quelques minutes plus tard. Lui aussi observa les lumières..."

Le récit de Hunt confirme celui de Bertrand. Après que les lumières eurent disparu, la police reçut un appel d'un homme téléphonant d'une cabine, lequel affirmait qu'un ovni volait droit dans sa direction. Puis la ligne fut coupée. On ne sut jamais qui avait appelé,


1966 BLACK-OUT A NHA TRANG

Vers 21 h 45, Nha Trang deployait une certaine activité. À part les occupations habituelles de la base, huit bulldozers étaient à l'ceuvre, des soldats regardaient un film en plein air, et deux avions d'attaque Douglas A-lE Skyraider se préparaient à decoller sur la piste d'atterrissage voisine. Dans la baie, un petrolier Shell etait à l'ancre.

1.jpg (316542 octets)Le ciel au nord s'illumina soudain. Les premières reactions furent qu'il s'agissait d'une fusee éclairante ennemie, mais la lumière brillante commença à se déplacer, s'approchant de la base. Comme elle arrivait près des observateurs, elle ralentit puis s'arrêta, demeurant en vol stationnaire au-dessus de la base à une altitude comprise entre 90 et 150 mètres, illuminant la vallée tout entière. À ce moment, toutes les machines et les systemes d'énergie de la base cessèrent de fonctionner, de même que ceux du pétrolier dans la baie et certains Diesels. Après être resté environ quatre minutes dans cette position, l'ovni monta en flèche et disparut des regards en moins de trois secondes. Après le départ de l'objet, toute l'énergie de la base revint aussi rapidement et inexplicablement qu'elle avait disparue


1966 PHARES DEVIES

2.jpg (26263 octets)Ronald Sullivan conduisait sur une longue route droite à 14km à l'est de Bealiba, dans l'État australien de Victoria, la nuit du 4 avril 1966, lorsque les faisceaux de ses phares avant se plièrent aussi soudainement qu'inexplicablement vers la droite comme s'ils etaient devenus des sortes de tuyaux solides mais malleables. Étonné et fort inquiet, Sullivan s'arrêta dans un crissement de pneus et assista alors à un manège de lumières colorées et brillantes s'approchant de la route depuis un champ. Alors un objet s'éleva depuis ce champ et s'évanouit Avant de narrer l'événement à la police, Sullivan fit verifier ses phares: ils fonctionnaient à la perfection, Lorsque
la police enquêta sur les lieux, elle découvrit dans le champ une excavation circulaire d'environ 1,50 m de diamètre et de 12,50cm de profondeur maximum. Sullivan déclara "ne pas croire aux ovnis".










LE MONDE DE L'ETRANGE