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1958 LES PHOTOS DE L'ILE TRINDADE Le navire-école Almirante
Saldhana. commandé par le capitaine Carlos Bacellar, observait les eaux autour de l'Île
Trindade (à 1210 km au nord-est de Rio de Janeiro) dans le cadre de l'Année géophysique
internationale. Parmi l'équipe technique civile à bord se trouvait le photographe Almiro
Barauna. 1959 EXTRATERRESTRES AMICAUX CHEZ LES PAPOUS En 1959, il y eut soixante-dix-neuf rapports de phénomènes ovni en
Papouasie-Nouvelle-Guinèe, et soixante et un d'entre eux furent ètablis en juin et
juillet. Les plus frappants furent les trois dont fut témoins un missionnaire, le
Révèrend William Bruce Gill, ainsi que trente-sept autres personnes durant trois soirs
d'affilée. Le 27 juin, alors que la nuit tombait, une infirmière de l'hôpital de la mission vit
un ovni et appela Gill: lui et douze autres personnes se déplacèrent pour venir voir. De
nouveau, quatre silhouettes apparurent sur le pont supérieur de l'ovni. L'une d'elles
.semblait regarder vers le bas, en notre direction., et Gill estima bon de lui faire signe
de la main. La silhouette lui rendit son salut. D'autres personnes au sol suivirent
l'exemple de Gill, et bienôt les quatre occupants de l'ovni firent tous signe. Gill tenta
de faire des signaux lumineux à l'aide d'une torche, pour les inciter à atterrir, mais
il n'obtint en retour que des signes de la main et les silhouettes rentrèrent à
l'intérieur de l'ovni. Peu de temps après, à18h30,"un peu las. de ce que les
ufonautes n'aient pas tenté d'atterrir, Gill quitta les lieux pour dîner. Ce soir-là,
des ovnis furent vus dans trois autres villages des environs. Le 28 juin, d'environ 18h45 à 23h20, les ovnis réapparurent, jusqu'à huit à la fois par moments. Mais ils restèrent pour la plupart hauts dans le ciel et nulle silhouette ne put être distinguée sur celui qui survola la mission à basse altitude. Juste après le décollage de la fusée Polaris depuis Cap Canaveral, un lancement expérimental télédiffusé dans tout le pays, un "inconnu apparut sur les radars de dépistage, s'approchant de Polaris. la signature radar de l'ovni était si forte, et l'objet s'approchait de si près de la fusée américaine, que le radar automatique du site de lancement accrocha l'ovni au lieu de la fusée expérimentale. Après avoir suivi Polaris quelques minutes, l'ovni s'éloigna et quitta l'écran radar. Bien que cet épisode soit narré en son intégralité dans le journal de vol du lancement de la NASA, aucune explication officielle de cette interférence radar ne fut jamais rendue publique. Le garde-forestier Vasili Bradski découvrit un cratère de 30 mètres de long, 15 mètres de large et 3 mètres de profondeur, près d'un lac gelé. Ce cratère n'était pas là lorsqu'il avait visité l'endroit deux jours plus tôt et il n'y avait aucune trace des tonnes de terre qui manquaient. Près du cratère, la fine glace recouvrant le lac était brisée. Une équipe de six enquêteurs vint de Leningrad et trouva des boulettes noires qui s'effritaient, comme des graines de sarrasin, au bord du lac. Elle remarqua également que le dessous de la glace brisée était vert. Des plongeurs découvrirent deux traces longues de 100 mètres au fond du lac, l'une près du rivage, l'autre au centre du lac. L'affaire fut étudiée à l'université de Leningrad par le professeur Vsevolod Charmov. les échantillons d'eau, de terre et de glace étaient normaux, mais rien ne pouvait expliquer la coloration verte. Les boulettes noires présentaient d'inhabituels reflets métalliques et ne se dissolvaient pas dans l'acide. 1961 TROIS CREPES MYSTERIEUSES En 1961, Joe Simonton, un aviculteur de 60 ans, vivait seul dans sa bicoque aux abords
d'Eagle River, dans le Wisconsin. le shérif Schroeder, qui connaissait Simonton depuis
quatorze ans, dit qu'il "croyait manifestement à la véracité de ce qu'il
racontait. sur son unique rencontre rapprochée avec des êtres non identifiés. Ils portaient des tenues noires avec des hauts à col roulé et des casques tricotés. l'un d'eux tendit à Simonton un pot avec deux anses, lui faisant signe qu'il voulait à boire. Simonton rentra chez lui, remplit d'eau le récipient et retourna à l'engin, où un autre homme était désormais en train de faire cuire de la nourriture sur un gril sans flamme apparente. Simonton remarqua que l'intérieur de l'appareil ètait "de la couleur du fer brut", et contenait plusieurs tableaux de bord. Il fit un geste pour leur signaler qu'il aimerait avoir un peu de nourriture en échange de son eau, et on lui offrit trois crêpes d'environ 7,5 cm de diamètre. l'un des occupants ferma l'ècoutille, et l'engin s'éleva doucement à 6 mètres du sol puis fila en direction du sud, provoquant un tel coup de vent que les sapins à proximité s'en courbèrent. la rencontre n'avait pas duré plus de cinq minutes. Simonton rapporta l'événement à un ami qui était juge du comté et membre de la Commission nationale d'enquêtes sur les phénomènes aériens (NICAP), et qui envoya au NICAP et à l'USAF deux crêpes pour analyse. Simonton goûta la troisième et affirma qu'elle avait un goût de 'carton". Le 19 septembre 1961, près de
Lancaster (Canada), Betty et Barney Hill, âgés respectivement de 41 et 39 ans, firent
une extraordinaire rencontre qui devint le plus célèbre cas d'enlèvement de l'histoire
des ovnis.
1961 OVNIS EN ETAT DE LEGITIME DEFENSE Durant l'été 1961, des missiles défensifs furent installés autour de Moscou. À l'une des bases, un radar détecta un ovni, volant à une altitude de 18000 mètres et escorté d'ovnis plus petits. Le commandant de la base de Rybinsk répondit par une salve de missiles. Les ovnis escorteurs descendirent en direction de la base, dont l'équipement électrique cessa alors de fonctionner. Les missiles explosèrent bien avant d'atteindre leurs cibles. Lorsque les ovnis rejoignirent leur. vaisseau-mère", l'énergie revint dans la base de missiles. 1963 LES PHOTOGRAPHIES DE PAUL VILLA Le mécanicien Paul Villa, alors âgé de 49 ans, prétendit que l'engin présent sur le cliché qu'il prit le 18avril 1963 contenait trois êtres avec lesquelles il conversa, Deux mois plus tard, il photographia un ovni différent qui, disait-il, avait à son bord neuf entités originaires de Coma Berenices qui lui rendirent visite durant une heure et demie. Villa vivait à Los Lunas, Nouveau-Mexique, Il prit de nombreuses photos d'ovnis, qu'il envoyait, accompagnées d'une littérature "pertinente", à des politiciens et à des "gens simples' dans l'espoir qu'ils pourraient s'en servir pour aider "les prisonniers, les orphelins, les malades, les pauvres et les personnes âgées". Villa croyait que les ovnis n'étaient "qu'une petite partie des immenses armées de Dieu" qui envahiraient la Terre et" rachèteraient l'humanité de sa présente condition, immorale et déchue ". Des analyses classiques menées par le projet Blue Book et des tests informatiques effectués par le Ground Saucer Watch révélèrent que les clichés de Villa avaient été truqués avec des modèles réduits. Les enquêteurs conclurent que Villa était persuadé d'avoir été en contact avec des extraterrestres et qu'il avait fabriqué ces images pour convaincre de l'authenticité de ses expériences. L'Argentine était alors prise dans les remous politiques succédant aux victoires électorales qui laissèrent le pouvoir aux mains des militaires et irritèrent grandement l'opposition péroniste. Le ranch isole de Santa Teresa, près de Trancas, etait tenu par la famille Moreno, un couple et leurs trois filles adultes, Yolie ,Yolanda et Argentina. Ils vivaients seuls dans la ferme avec leur servante, Dora Martina Guzman, âgée de 15 ans. Vers 19 heures, le générateur électrique cessa de fonctionner. À 20 heures, toute la famille, hormis Yolié, etait partie se coucher. Vers 21 h 30, Dora Martina alla frapper à la porte de Yolié: elle était effrayée par d'étranges lumieres à l'extérieur. Yolié alla chercher Yolanda, et toutes deux sortirent pour voir ce qui se passait. Les uns virent ce qui leur sembla être un petit train vivement lumineux sur la voie de chemin de fer située à 180 métres à l'est de la maison. Un examen plus soutenu révéla deux disques fortement brillants reliés par un tube lumineux. Une quarantaine de silhouettes, apparemment humaines, se déplaçaient à l'intérieur du tube. Les deux femmes se dirent que les guérilleros avaient dû faire dérailler un train. Elles retournèrent à la ferme, se vêtirent chaudement et sortirent à nouveau, cette fois accompagnées de Dora Martina qui s'était munie du Colt 38 qu'elle gardait pour se défendre. Près de la porte principale, elles virent une pâle lumière verte. La torche de Yolié révéla un objet métallique en forme de disque, surmonté d'un dôme, qui planait dans l'air, se balançant doucement. Il faisait 9 mètres de diamètre et possédait neuf hublots. Soudain, une bande de lumière multicolore se mit à tourner à l'intérieur des hublots de l'ovni et une brume blanche commença à se former autour de lui. Il y avait une nette odeur de soufre. Puis, un éclair de feu sortit de l'ovni, couchant le trio à terre. Les lumières de trois autres disques apparurent sur la voie de chemin de fer. L:ovni le plus proche, désormais masqué par la brume, projeta un rayon lumineux d'apparence "solide", qui s'étendit lentement en forme de tube. Il toucha la maison et commença à la sonder. Depuis la voie ferrée, des doubles "tubes" de ces étranges lumières se mirent à avancer et quelques minutes plus tard leurs extrémités s'arrêtérent juste en face des diverses dépendances.
Les rayons étaient parfaitement cylindriques et mesuraient environ 3 mètres de large Les
femmes rentrèrent rapidement chez elles. Leurs parents étaient réveillés. La
température à l'intérieur avait monté, dépassant les 37.C, et l'odeur de soufre
était omniprésente. Tous éprouvaient brûlures et démangeaisons sur la peau tandis
qu'effrayés ils contemplaient les ovnis. Le rayon qui émanait du plus proche d'entre eux
s'orienta en direction de Trancas. Il lui fallut au moins 10 minutes pour atteindre les
abords du village puis, incroyablement, il revint vers le ranch en effectuant un mouvement
en forme de U. Puis l'ovni "replia" le tube de lumière, s'éleva et rejoignit
les cinq autres disques brillants de la voie ferrée. Tous les six montèrent et mirent le
cap à l'est, en direction des montagnes de la Sierra Medina. 1964 L'ATTERRISSAGE DE SOCORRO Environ six heures après l'étrange rencontre de Wilcox dans l'État de New York, une
autre rencontre rapprochée se produisit au Nouveau-Mexique. Vers 17 h 45, l'agent de
police Lonnie Zamora, en service à bord de sa voiture de patrouille Socorro Il, donna la
chasse à une Chevrolet noire en excès de vitesse. La poursuite continua vers le sud,
hors de la ville. Puis Zamora entendit un fort grondement en même temps qu'il vit sur sa
droite une flamme dans le ciel. Il savait que dans les environs se trouvait une cabane
contenant de la dynamite et pensa qu'elle avait explosé. Il abandonna la poursuite et
quitta la route pour emprunter un chemin de terre qui franchissait une crête et
continuait aprés la cabane. La flamme bleue et orange, ne dégageant aucune fumée,
longue et étroite descendait maintenant vers le sol. 1965 LE SECOND RAID SUR WASHINGTON La fameuse panique. du milieu de l'hiver 1964-1965 au-dessus de Washington DC dura
presque deux mois, mais trois événements se détachent nettement de l'ensemble. Mais, moins d'un mois plus tard, deux automobilistes faisant route dans la direction
opposée le long de la US 60, près de Williamsburg (Virginie), rapportérent avoir
observé un ovni identique. 1965 DES EXTRATERRESTRES FLOTTANTS Vers 18 h 15, le dessinateur industriel William Blackburn coupait du bois près du terrain couvert de neige appartenant au club d'Augusta lorsqu'il vit une pyramide ou un objet en forme de cône descendre du cie! en direction du sud. Cet ovni demeura ensuite stationnaire à une altitude estimée à à 900 mètres. Blackburn évalua son diamètre supérieur à 60 mètres. Tandis qu'il observait un ovni plus petit, d'environ 18 mètres de diamètre, atterrit à15 mètres de lui. Sa surface était polie comme celle d'un miroir. Au sommet se trouvait une cloche qui fit à Blackburn une impression "plutôt étrange. lorsqu'il l'observa. Une ouverture apparut sur le flanc de l'ovni, .comme si quelqu'un en avait retiré une part de tarte t, et trois humanoïdes en sortirent en flottant: leurs pieds ne touchèrent jamais le sol. Ils s'approchèrent à moins de 11 mètres de Blackburn et émirent divers sons inintelligibles. Ils étaient hauts d'environ 1 mètre mais, à part ce détail, ils ressemblaient à des humains ordinaires. Blackburn, pétrifié, ne leur répondit pas et les êtres retournèrent en flottant dans leur engin. Puis, les deux ovnis partirent rapidement. Il n'y avait pas de traces dans la neige. Peu après que l'histoire de Blackburn soit publiée dans le journal local, The Waynesboro News-Virginian, une voiture dotée de plaques d'immatriculation du gouvernement fédéral apparut en ville: les habitants affirmèrent qu'elle était visible comme le nez au milieu de la figure. Blackburn fut apparemment. sévèrement mis en garde. par des agents gouvernemen-taux (appartenant à un organisme qu'il ne voulut pas citer) de ne plus rien dire au sujet de son expérience. 1965 RENCONTRE DANS LA LAVANDE Maurice Masse avait 41 ans en 1965. C'était un fermier cultivant de la lavande sur un
terrain situé à environ 1 600 mètres de la maison où il vivait avec sa femme et ses
deux enfants. Le 1" juillet à 5 heures du matin, il se mit en route pour le travail.
À 5 h 45, avant de démarrer son tracteur, il entendit un bruit de sifflement qu'il prit
pour celui d'un hélicoptère militaire. Il avait l'habitude de voir des hélicoptères
atterrir dans ses champs au cours d'exercices et bavardait souvent avec les pilotes. À côté de l'objet se trouvaient deux personnages grands comme des petits garçons, penchés sur un buisson de lavande. Masse avait déjà vu ses plantations saccagées et pensa être en présence des coupables. Il s'approcha prudemment d'eux. Comme il arrivait non loin des êtres, il s'aperçut qu'ils n'étaient pas humains: hauts d'environ 1 mètre, la peau blanche, ils avaient des têtes qui,proportionnellement à leurs corps, faisaient trois fois celle d'un humain. Ils avaient de larges oreilles, des pommettes saillantes et charnues, de gros yeux obliques et sans paupières. pas de menton et une cavité circulaire en guise de bouche. Ils portaient des costumes gris-vert d'une seule pièce et étaient chauves. Ils remarquérent la présence de Masse lorsqu'il fut à 8 mètres d'eux. Manifestement inquiet, l'un d'eux sortit de sa ceinture un petit cylindre qu'il pointa en direction de Masse, lequel resta cloué sur place, incapable de bouger. Les deux créatures l'observèrent quelques instants,échangeant entre eux des sons gutturaux. Il n'eut pas l'impression qu'ils étaient hostiles. Les deux êtres retournèrent ensuite à leur engin, y pénétrant par une porte coulissante. Le bruit de sifflement recommença et l'engin plana briévement tandis que ses pieds commençaient à tourner, puis il fila vers l'ouest à vive allure. Masse ne recouvrit sa capacité de mouvements qu'un quart d'heure plus tard. Les astronomes Robert et Esmerelda Vitolniek et Yan Melderis racontèrent avoir vu un ovni vert et triangulaire ressemblant à une étoile. Examinant l'objet de plus près grâce au télescope de l'observatoire, ils s'aperçurent que l'ovni était composé de trois boules vertes en formation triangulaire autour d'une lumière centrale plus vaste. La sphère centrale fut estimée à 90 mètres de diamètre et l'on évalua sa hauteur à 100 km, mais les observateurs furent dans l'incapacité de fournir une explication à ce qu'ils virent. Le camionneur Don Tenopir, du Nebraska, faisait route au nord vers Abilene avec un chargement de céréales. Vers 1 h 30, un ovni descendit du ciel au-dessus de son camion puis se posa sur la route devant lui. Une voiture, venant en sens inverse, contourna l'engin et s'arrêta dans un crissement de pneus. Tenopir écrasa la pédale de frein. Ses phares cessèrent de fonctionner, bien que son semi-remorque GMC Diesel continuât de rouler: l'ovni se déplaça et les phares du camion se remirent en marche. Tenopir pouvait maintenant voir l'objet: un disque (surmonté d'une coupole) d'environ 4 mètres de diamètre, stationnant à quelques mètres du sol. Il y avait des fenêtres carrées sur le dessus. Mort de peur, Tenopir ne bougea pas de sa cabine, mais le conducteur de la voiture en sortit et s'approcha de lui. Avant qu'ils ne puissent s'entretenir, l'ovni projeta des étincelles d'où il était et décolla avec grand bruit. Les deux conducteurs s'enfuirent. Tenopir raconta l'incident à la police d'Abilene, mais ni la ville, ni l'État, ni le gouvernement ni les autorités militaires n'y donnèrent jamais suite. L'affaire ressemble d'intéressante manière à la rencontre qui se produisit dans le Hampshire (Angleterre) en novembre 1967 L'automne 1965 connut une vague d'observations d'ovnis dans et autour d'Exeter (New
Hampshire). Le plus spectaculaire de ces événements se produisit le 3 septembre et fut
observé par l'adolescent Norman Muscarello et les agents de police Eugene Bertrand et
David Hunt Vers 21 h 45, Nha Trang deployait une certaine activité. À part les occupations
habituelles de la base, huit bulldozers étaient à l'ceuvre, des soldats regardaient un
film en plein air, et deux avions d'attaque Douglas A-lE Skyraider se préparaient à
decoller sur la piste d'atterrissage voisine. Dans la baie, un petrolier Shell etait à
l'ancre. Ronald Sullivan conduisait sur
une longue route droite à 14km à l'est de Bealiba, dans l'État australien de Victoria,
la nuit du 4 avril 1966, lorsque les faisceaux de ses phares avant se plièrent aussi
soudainement qu'inexplicablement vers la droite comme s'ils etaient devenus des sortes de
tuyaux solides mais malleables. Étonné et fort inquiet, Sullivan s'arrêta dans un
crissement de pneus et assista alors à un manège de lumières colorées et brillantes
s'approchant de la route depuis un champ. Alors un objet s'éleva depuis ce champ et
s'évanouit Avant de narrer l'événement à la police, Sullivan fit verifier ses phares:
ils fonctionnaient à la perfection, Lorsque
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LE MONDE DE L'ETRANGE |