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1967 L'ENLEVEMT D'ANDREASSON

Le soir brumeux du 25 janvier 1967, Betty Andreasson était chez elle avec ses sept enfants et ses parents, venus pour l'aider alors que son mari se remettait d'un accident de voiture à l'hôpital. Vers 19 heures, les lumières de la maison déclinèrent. Betty vit briller une lumière rose par la fenêtre de la cuisine. Son père aperçut de petites créatures, "tout à fait comme des monstres de Halloween ", dans la cour; l'une d'elles le regarda et il se sentit "tout drôle". Puis les lumières revinrent. Les siens étaient pétrifiés dans une sorte de transe catatonique, mais Betty vit quatre êtres hauts de 1,20 m entrer dans la maison en passant à travers la porte fermée. Ces êtres étaient des "gris" typiques, vêtus d'uniformes moulants de couleur bleue. Betty ne se souvint de rien de plus au sujet de cet événement avant d'entreprendre une régression sous hypnose au début de l'année 1977.

Sous hypnose, Betty se souvint que le chef des Gris l'informa télépathiquement que les extraterrestres avaient besoin de "nourriture pour leurs esprits"et que son nom était Quazgaa.
Elle lui donna un exemplaire de la Bible et en retour il lui offrit "un livre bleu
peu épais". Les extraterrestres lui demandèrent de les suivre "afin de pouvoir aider le monde". Betty accepta à contrecœur et fut conduite à l'extérieur jusqu'à un engin ovale.

À son bord, elle subit un douloureux examen médical: une longue aiguille
lui fut enfoncée dans le nombril et une sonde, dans le nez. On l'assit ensuite sur une chaise et on lui fixa des tuyaux sur la bouche et le nez. Une cloche étanche et transparente la recouvrit, ainsi que la chaise. Du fluide gris se mit à remplir ce "récipient" et Betty ressentit une agréable sensation de pulsation. Puis le fluide fut évacué et deux extraterrestres menèrent Betty en bas d'un sombre tunnel
qui débouchait hors de l'engin, dans un paysage dénué de vie où tout, même l'atmosphère, était de couleur rouge.
Marchant entre des constructions carrées, elle fut alarmée de voir des créatures semblables à des lémuriens, sans têtes mais avec des yeux pédonculés,les escalader. Le groupe traversa une
membrane circulaire et pénétra dans une nouvelle ambiance, cette fois imprégnée de vert.

Au bout d'un sentier apparut une pyramide et un déploiement de cristaux en suspension dans l'air, dégageant une intense lumière. Mais, un oiseau, haut de 4,50 m obstruait le chemin. Il irradia une très forte chaleur puis se tranforma en brasier. De ses cendres sortit en rampant une larve bien grasse. Betty
entendit alors une voix puissante (qu'elle pensa venir de Dieu) lui dire qu'elle avait été choisie pour" une mission", dont les détails lui seraient fournis ultérieurement. Le groupe retourna
ensuite à l'engin, retraversant les royaumes colorés, Betty fut à nouveau mise sous cloche et, pour finir, se vit reconduite hors de l'ovni dans la cour derrière sa maison. Quazgaa lui dit que des "secrets" avaient été "enfermés. dans son esprit. Il faisait encore nuit; dans la maison, la famille était toujours
comme paralysée. Les extraterrestres les menèrent jusqu'à leurs lits puis s'en allèrent. La rencontre est estimée avoir duré 3 heures et 40 minutes.


1967LE MYSTERE DU BITUME FONDU

Entre 1 et 2 heures du matin, Carl Farlow conduisait un camion chargé de cuisinières sur la partie de la route A 338 reliant les villages de Sopley et d'Avon, dans le Hampshire (Angleterre). Il approchait d'un carrefour près d'un pont traversant la rivière Avon, lorsque les phares de son fourgon s'éteignirent. Son moteur Diesel (qui ne dépendait évidemment pas d'un dispositif d'allumage électrique) continua à fonctionner et, présumant un simple court-circuit, il s'arrêta pour chercher la cause de ce brusque dérèglement .Avant qu'il n'ait eu le temps de descendre de la cabine, il fut étonné d'apercevoir un curieux objet de forme ovoïde qui se déplaçait de droite à gauche en travers de la route, en face de lui, à environ 7,50 m du sol. Il était de couleur magenta, avec une base blanche, et faisait environ 24 mètres de long ,assez gros pour surplomber les deux côtés de la route alors qu'il la franchissait, exhalant une odeur comme "une mèche de perceuse s'attaquant à du bois" et faisant un bruit "semblable à celui d'un réfrigérateur". En traversant la route, l'engin accéléra graduellement, et au bout de quelques secondes, il disparut entièrement du champ de vision de Farlow

Farlow réalisa alors qu'une Jaguar, qui était venue de la direction opposée, était en rade de l'autre côté de la trajectoire de l'ovni. Son conducteur, un vétérinaire, s'approcha de Farlow et lui expliqua que son véhicule était hors d'usage et que sa passagère faisait une crise d'hystérie. Puis il proposa d'appeler la police, ce qu'ils firent d'une cabine proche en état de fonctionner bien que ses lumières fussent, elles aussi, mortes, et la police les rejoignit peu de temps après. Son inspection préliminaire du site révéla que la surface de la route semblait avoir fondu ,ce qui est presque inconcevable en plein hiver anglais. La passagère du vétérinaire, en état de choc, fut emmenée à l'hôpital pour être soignée, tandis que les deux hommes étaient interrogés, d'abord par la police, puis par un officiel du ministère de la Défense

Le jour suivant, Farlow retourna à son camion. Un bulldozer nivelait la route, on repeignait la cabine téléphonique et d'autres individus semblaient examiner l'endroit à l'aide d'instruments. Environ une semaine plus tard, sur la même route, Farlow constata que quelque 70 mètres de ce tronçon de route avaient eu droit à un nouveau revêtement.


1967 L'ENLEVEMENT DE SCHRIMER

Tôt le matin, l'agent de police Herbert Schirmer se trouvait à la jonction des routes numéro 3 et 63, près d'Ashland, lorsqu'il vit un ovni en forme de ballon de football posé au sol, déployant des lumières rouges et se tenant sur un trépied. Après cette observation, Schirmer semblait avoir "perdu" une période d'environ 20 minutes et se retrouva avec une inexplicable marque rouge sur le cou.

La Commission Condon eut vent de cette affaire et demanda au Dr Leo Sprinkle de faire régresser sous hypnose l'officier de police afin d'en savoir plus sur la rencontre .Selon le témoignage sous hypnose de Schirmer, des êtres hauts de 1,50 m sortirent de l'ovni et entourèrent sa voiture de patrouille. Terrifié, il tenta de sortir son arme mais en fut empêché par un ordre transmis télépathiquement. L'un des extraterrestres tenait  "quelque chose comme une boîte" qui recouvrit le véhicule d'un gaz ou d'une lumière de couleur verte. Un des êtres toucha son cou et le blessa. Les extraterrestres l'interrogèrent au sujet de la centrale électrique et du réservoir d'eau tout proches. Lorsqu'il admit être "le gardien de cette ville ", il fut emmené à bord de l'ovni où on lui affirma que l'engin était mû par "électromagnétisme réversible" et qu'il tirait de l'énergie des lignes électriques et des sources d'eau de la terre. Les extraterrestres venaient d'une proche galaxie et avaient plusieurs bases sur notre planète. Schirmer demanda si les extraterrestres enlevaient des gens. Ils répondirent qu'" ils avaient un programme connu sous le nom "d'analyse de la reproduction" et que "quelques humains avaient été employés pour ces expériences ".


1968 UN GRAND HOMME BLEU

Vers 0h40, Maria Eliada Pretzel (19 ans) souhaita la bonne nuit à son fiancé et à quelques invités alors qu'ils quittaient le motel familial La Cuesta, à Villa Carlos La Paz, sur la route 20, à 800 km à l'ouest de Buenos Aires. Son père était sorti pour la soirée. Elle éteignit les lumières du motel, puis remarqua une lueur dans le hall. C'est alors qu'elle se trouva en présence d'un homme blond, mesurant plus de 2 mètres, vêtu d'un habit moulant composé de brillantes écailles bleu ciel. Il tenait dans sa main gauche une sphère, également de couleur bleu ciel, qui ne cessait de bouger. Souriant continuellement, il agita sa main droite, ornée d'un énorme anneau, face à elle. De la lumière jaillit du bout de ses doigts et Maria se sentit prise de léthargie, tout en ressentant "de la gentillesse et de la bonté" émaner de la créature. Dans le même temps, il marmonnait dans une langue qui lui fit penser à "du chinois". Maria était pétrifiée mais, au bout de quelques minutes, l'être se dirigea lentement vers la porte latérale et sortit. Maria s'évanouit et fut découverte vers 0h50 par son père. Quelques instants auparavant, alors qu'il retournait à son domicile, il avait vu un objet, apparemment 45 mètres plus loin sur la route, qui dardait deux brillants rayons de lumière rouge sur le motel. L'objet et les lumières disparurent quelques secondes plus tard. Le senior Pretzel courut à la maison où il trouva Maria qui avait perdu connaissance. Il lui fallut quelques jours pour se remettre de sa déchirante expérience. La police promit d'enquêter sur l'événement mais ne transmit jamais ses conclusions.


1968 LES OVNIS PEUVENT-ILS TUER?

Aux alentours de 16 heures, Inacio de Souza et son épouse Louisa retournaient au ranch où Ignacio. un analphabète de 41 ans, travaillait comme ouvrier, à 240 km de Brasilia. l'endroit était assez important pour posséder une piste d'atterrissage, et c'est là que de Souza vit trois personnes vêtue d'habits moulants de couleur jaune aux dires de sa femme,apparemment en train de jouer. Les trois êtres remarquèrent de Souza au même moment et commencèrent à s'approcher. Puis ce dernier remarqua un étrange appareil "comme une cuvette de lavabo à l'envers" posé sur la piste d'atterrissage. Effrayé, il se saisit de la carabine calibre 44 qu'il transportait avec lui et fit feu sur la créature la plus proche

La réplique fut un rayon de lumière verte émanant de l'engin. Celui-ci atteignit de Souza à la tête et aux épaules. Les trois intrus coururent ensuite jusqu'à l'engin et s'y engouffrèrent; celui-ci décolla à la verticale, en vrombissant. De Souza développa des symptômes allant de la nausée jusqu'à des trémulations, et fut emmené voir un médecin à Goiâna, 290 km plus loin. On diagnostiqua une leucémie et le docteur qui l'examina estima que son histoire d'ovni et d'extraterrestres était une hallucination. De Souza, qui avait la réputation, avant sa rencontre, d'être trés robuste, mourut le 11 octobre 1967.
 


1968 L'ETRANGE AFFAIRE DU DOCTEUR X

Le nom du Dr. X et l'adresse de son domicile furent toujours occultés afin de préserver son intimité. Vers 4 heures du matin, les cris de son fils de 14 mois le réveillèrent. Lorsqu'il alla voir, l'enfant désignait la fenêtre avec agitation. Le ciel semblait orageux et le Dr X vit des éclairs de lumière au-dessus de la vallée. Il pensa que c'était la foudre et calma son fils.Le Dr X ouvrit ensuite la fenêtre afin d'observer le paysage. Il vit alors deux ovnis en forme de disque, blancs dessus et rouges dessous. Ils étaient surmontés d'antennes et dardaient chacun un rayon de lumière vers le sol. Comme ils s'approchaient de la maison, ils se fondirent en un seul objet, identique aux deux d'origine. Le rayon de lumière se mit à tourner et s'orienta précisément vers le médecin, puis il y eut une violente détonation. L'ovni s'évanouit et fut remplacé par une forme nuageuse, comme une image rémanente, laquelle se dissipa bientôt. Troublé, le Dr. X rédigea immédiatement un compte rendu de l'anecdote puis réveilla son épouse pour tout lui raconter. C'est à ce moment qu'il réalisa qu'une incessante douleur à la jambe, une blessure de combat contractée plusieurs années auparavant en Algérie, avait disparu, de même que des contusions dues à un accident qu'il avait eu trois jours plus tôt en coupant du bois. Après que le Dr X se fut remis au lit, sa femme l'entendit parler durant son sommeil. Elle remarqua quelques paroles particulièrement étranges: "Le contact sera réétabli le 2 novembre en tombant de l'escalier."

Le Dr X, rien d'étonnant à cela, dormit jusqu'à l'après-midi du jour suivant. Lorsqu'il s'éveilla, il ne se souvenait absolument pas des événements de la nuit, même lorsqu'il relut ses propres notes que lui présenta sa femme. Puis, un peu plus tard, il tomba dans l'escalier et c'est alors que lui revint la mémoire de ce qui s'était passé. La douleur de sa blessure à la jambe ne se manifesta jamais plus, mais il souffrit de douleurs et de crampes autour du nombril. Le plus étrange, c'est qu'une mystérieuse marque triangulaire apparut sur son ventre et sur celui de son fils. Ces marques disparurent et réapparurent au cours des années qui suivirent.


1969 L'ENLEVEMENT DE DA SILVA

 

José Antonio da Silva était parti pêcher au nord de Belo Horizonte. À 15heures, il fut paralysé par un jet de lumière et transporté jusqu'à un engin cylindrique et vertical, avec une "soucoupe" à la base et une au sommet, par deux créatures hautes de 1,20 m, portant des costumes et des masques couleur argent mat. Une fois à l'intérieur, il fut entravé et on le contraignit à porter un casque. La machine décolla et, au bout d'un temps "interminable", atterrit. On banda les yeux de Da Silva et on l'emmena dans une pièce vivement éclairée, dans laquelle il vit les corps de quatre autres humains. Il fut ensuite interrogé par quinze minuscules créatures. Elles étaient trapues, avec de longues barbes rousses et des cheveux de même couleur, de gros nez, de grandes oreilles et pas de dents. Elles prirent son attirail de pêche, sa carte d'identité et ses billets de banque. Elles lui demandèrent "d'être leur guide parmi les hommes". Lorsqu'il refusa, il fut ramené sur la Terre. Il se réveilla près de Victoria, Espirito Santo, à 320 km de l'endroit où il pêchait. Il avait disparu durant quatre jours et demi.


LE MONDE DE L'ETRANGE