logofx.jpg (24914 octets)
fx.jpg (6089 octets)








CAS DE FANTOMES


 

 

En 1936, l'abbé Césard fit aménager une petite grotte à côté du presbytère où l'on pu voir une femme voilée de noir portant des roses et une croix; ce fut alors, un lieu de pèlerinages. L'Eglise finit par faire expulser l'abbé. Le toponyme du nom du village serait dû aux différents faits féeriques qui s'y produisent. En s'y prenant bien, on peut assister à des manifestations particulières.

 

Faits : Ce soir-là, comme à son habitude, Margaret Simpson regardait la télévision, attendant tranquillement le retour de son mari qui donnait un concert avec la fanfare locale. Sa fillette de 3 ans, Lisa, était couchée. Tout à coup, elle entendit une voix. Elle se retourna et aperçut sa petite fille non pas dans son lit, mais assise sur l'escalier qui mène du séjour à l'étage. Elle avait les joues rouges comme lorsqu'elle s'adressait à des adultes. Lisa parlait très naturellement de son père. Puis elle dit en se tournant vers sa mère avec un petit sourire coquin: " Il est là. " Mais il n'y avait personne en face d'elle ; Lisa parlait dans le vide. Margaret éleva la voix plusieurs fois pour tenter d'attirer l'attention de Lisa. En vain. Au bout de quelques minutes, la fillette entra en transe sous le regard médusé de sa mère. Enfin, elle se retourna et dit au revoir à l'apparition avec un sourire chaleureux. Margaret, très perturbée, installa sa fille sur le canapé. L'enfant regardait toujours l'escalier. Elle lâcha dans un petit rire: "Il est toujours là!"

Quelques semaines plus tard, Margaret surprit sa fille en pleine conversation, seule dans sa chambre. Elle lui demanda de décrire la personne avec qui elle discutait. L'enfant répondit très simplement qu'il s'agissait d'un vieil homme très sympathique aux cheveux blancs. Il avait interrogé Lisa sur ses parents. Il lui avait dit d'être gentille avec eux, en particulier avec sa mère, dont il disait qu'elle était " une très bonne maman ". Margaret Simpson était très intriguée. Lisa lui expliqua encore que l'homme avait utilisé le mot "chuck" de façon très affectueuse. Ce mot attira aussitôt la curiosité de Margaret; "Chuck" était en effet un surnom qu'on lui avait donné lorsqu'elle était enfant. Le lendemain, Margaret montra à sa fille un album de photos. Lisa l'examina et s'exclama en désignant un portrait : " C'est lui, c'est lui qui vient me voir !" C'était son arrière grand-père, décédé depuis peu. Margaret s'était brouillée avec lui suite à une querelle et durant les trois ans précédant son décès, elle ne l'avait plus revu. Lisa n'avait donc jamais eu l'occasion de le rencontrer de son vivant. Pourtant, elle affirmait l'avoir vu à deux reprises depuis sa mort. Margaret, qui avait appris son décès deux jours avant la première apparition, avait alors eu un immense sentiment de remords.

 

 

Auto-stoppeuse :

Source : "les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG (paru dans le magazine "l'inconnu" n°273.)

Genre : Auto-stoppeuse

Lieu : Ardèche

 

Faits : Sur la Nationale 102, les automobilistes peuvent rencontrer une auto-stoppeuse fantôme des plus tenaces. Sa particularité : elle porte un costume de motard tout en cuir. L'apparition se manifeste toujours en fin d'après-midi, avant le coucher du soleil, à la première pleine lune de mai. Si vous voulez la voir, empruntez l'itinéraire suivant : depuis l'autoroute A6, venant de Lyon, dans le sens Paris-province, sortez à Montélimar. De là, empruntez la route d'Alba-la-Romaine en direction d'Aubenas par la nationale 102. C'est avant Alba, juste à la sortie de l'autoroute que celle surnommée "la larve" par les gendarmes, apparaîtra dans un virage. Si vous la prenez à votre bord, vous la promènerez jusqu'à Villeneuve-de-Berg, toujours par la N.102. Là, ses premières plaintes commenceront. Vous traverserez cette ville, prenant la direction d'Aubenas. Dix km plus loin, la belle jeune fille s'évanouira...

 

 

Le 10 Août 1987, Mme Sayers pose seule dans la carcasse d'un hélicoptère "crashé" pendant la guerre des Malouines. Elle ne se rendra compte de la présence d'un copilote spectral qu'au vu de la photo !

Image117.jpg (11071 octets)

 

En 1993, un vidéaste amateur (Keith Melia) filme sur une plage cette silhouette fantomatique

Image118.jpg (15560 octets)

 

 

Esprits de la nature :

Source : "Les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG (paru dans le magazine "l'inconnu" n°273.)

Genre : Esprits de la nature

Lieu : Chabestan (Hautes-Alpes)

 

Faits : Les anciens habitants de Chabestan racontent que le village était jadis un repaire de fées. On a pu le vérifier de nouveau en 1996, quand un fermier voulut creuser une fosse d'évacuation le long de ses bâtiments. L'excavation était automatiquement rebouchée la nuit avec de la terre bien tassée. Et au matin, on retrouvait sur la terre meuble les empreintes de petits pieds féminins.

 

 

Hantise :

Source : "les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG

Genre : Hantise

Lieu : Le château de Jaulny (ancien fief de Jeanne des Armoises) , Meurthe-et-Moselle, France.

 

Faits : Jeanne des Armoises tenta de se faire passer pour Jeanne d'Arc, après sa mort à Rouen, sur le bûcher. Du fait de leur flagrante ressemblance ce ne fut pas très dur...

Cette usurpation d'identité lui aurait valu la damnation éternelle. Le spectre apparaît souvent sous la forme d'une jolie silhouette blanche errant dans la nuit, entre les deux ailes de la forteresse.

Les apparitions sont encore fréquentes, mais le doute reste sur l'identité de cette personne.

 

Source : "les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG

Genre : Hantise

Lieu : Château de Thiaucourt-Regniéville, Meurthe-et-Moselle, France.

 

Faits : Apparition de Jeanne des Armoises sous la forme d'une belle dame blanche, dans les ailes du bâtiment. Elle fut reconnu comme étant Jeanne d'Arc, par ses frères et les bourgeois, ce qui laisse le doute sur son identité. Précision : Ce château fut celui où elle termina ses jours.

 

Source : "Le livre de l'inexplicable", de Jacques Bergier, aux éditions France Loisirs; extrait du Sunday Mirror de Sydney, Australie.

Genre : Hantise

Lieu : Île de Gabba, détroit de Torrés, nord du Cap York.

 

Faits : La peur écarte les gens d'un paradis tropical dans le détroit de Torrés. L'île hantée, Gabba, à une centaine de kilomètres au nord du cap York, est couverte de bois et de fleurs sauvages. Ses arbres sont chargés de fruits tropicaux, l'eau de ses rivières est claire comme le cristal et ses plages sont magnifiques. Ses baies et ses criques abondent de crabes, de langoustes, de crevettes et de poissons. La température du mois d'août est idéale, environ 30°, et elle le reste la plus grande partie de l'année. Pourtant les habitants des îles du détroit de Torrés fuient ce jardin d'Eden comme la peste. Ils sont tout à fait persuadés que rester sur Gabba après le coucher du soleil, c'est la mort certaine. Jimmy Levi, un indigène de l'île Thursday, nous a parlé de Gabba et de la " sorcière " qui la hante. Il est le mécanicien du bateau navette Melbidir et on le dit connaître le groupe d'îles du détroit de Torrés mieux que personne. " Elle est comme le diable, déclara-t-il du ton tranquille, réservé, qui est typique des îliens. Nos pères nous l'ont dit, elle tue ceux qui y restent la nuit. Elle fait tomber d'énormes pierres sur eux pour les écraser. " Jimmy ajouta que Gabba était autrefois l'une des îles les plus peuplées du détroit de Torrés. Mais, selon la légende, il y a environ 300 ans, une terrible maladie se répandit sur l'île après que quelques-uns des habitants eurent mangé des tortues venimeuses. Les survivants prirent leurs canots et s'enfuirent à la rame sur une autre île. Tous, sauf une vieille femme qui, gémissant et hurlant contre les gens des canots, se traîna jusqu'en haut des rochers. Après cela, tous ceux qui allèrent à Gabba entendirent d'étranges gémissements et d'horribles cris. Dès que la nuit tombait, d'énormes pierres s'abattaient sur eux. Quelques-uns seulement en revinrent pour le raconter. Tremblants d'épouvante, ils dirent qu'ils avaient vu la silhouette terrifiante d'une vieille femme sur le gigantesque rocher branlant de l'île, hurlant et ricanant. "Tout le monde le croit, même les jeunes", dit Jimmy. Ils baissent la voix quand ils parlent de la sorcière. "C'est très malheureux parce que Gabba est une si bonne île. On y trouve certains des meilleurs poissons des îles. Mais la sorcière du rocher ne veut laisser personne y habiter."

 

Image119.jpg (18655 octets)Prise dans une église en France. Les deux personnages ne furent pas vus par le photographe.

 

Source : "Le livre de l'inexplicable", de Jacques Bergier, aux éditions France Loisirs; extrait de The Edmonton Journal d'Edmonton, Canada, du 16 Février 1970.

Genre : Poltergeists

Lieu : St. Catharines, Ontario.

 

Faits : St. Catharines, Ontario (C.P.). - Il semble qu'un fantôme qui lève des poids et déménage des meubles rôde ces jours-ci dans l'appartement d'une famille de St. Catharines. Deux médecins, deux avocats, deux prêtres et un groupe de policemen de St. Catharines disent avoir vu cet esprit à l'oeuvre. Ils assurent qu'une chaise, sur laquelle était assis un garçonnet de 11 ans, s'est élevée plusieurs fois à 15 ou 20 cm au-dessus du sol, mais un policeman, qui a essayé de la soulever dans les mêmes conditions, ne l'a pas pu. Des lits se sont dressés sur un bout et des commodes se sont déplacées d'un mur à l'autre. Un policeman de la ville qui a 23 ans de service déclara samedi : " Je connais au moins cinq de mes collègues qui ont été témoins de ces manifestations, et qui... sont convaincus qu'il se passe quelque chose de surnaturel. " La police, qui préfère ne pas révéler le nom de la famille, dit qu'elle fait venir des physiciens et d'autres experts afin d'enquêter. Les fonctionnaires de l'eau, du gaz et de l'électricité, des services d'incendie, et l'inspecteur du service des constructions de la ville ont tous été dans l'impossibilité de fournir une explication logique. La famille habite l'appartement depuis plus de dix ans mais les ennuis avec les meubles n'ont commencé que depuis les deux dernières semaines.

 

Source : "Le livre de l'inexplicable", de Jacques Bergier, aux éditions France Loisirs;

Genre : Poltergeists

Le lieu : une clinique orthopédique à Arcachon, France.

Faits : Cette clinique était (en 1972) dirigée par le docteur Cuénot, depuis vingt-cinq ans. Elle est spécialisée dans le traitement des tuberculoses osseuses.

Cette histoire s'est déroulée de mai à septembre 1963.

Les phénomènes : un bombardement de la clinique par des cailloux, des moellons, des fragment de briques, objets dont l'origine n'a pas pu être déterminée. Plus de trois cents de ces objets sont arrivés à toute heure du jour et à la tombée de la nuit. Les malades, allongés sur leurs voitures, semblaient particulièrement visés. Le phénomène était lié à la présence d'une jeune fille de 17 ans, qui sera dans ce récit appelée Jacqueline. Elle-même fut largement lapidée. Sur le plan psychologique et social, il faut signaler que le phénomène fut précédé par l'annonce, le 19 avril 1963, de la vente de la clinique, qui devait fermer le 30 septembre suivant. C'est cette annonce qui parait avoir déclenché des réactions chez... on ne sait pas qui. Les jets de pierre visèrent d'abord une jeune femme, que l'on appellera Angélina. Après son départ de la clinique, et l'arrivée le 16 juin de Jacqueline, les phénomènes s'accentuèrent. Les indications données par le docteur Cuénot dans son livre , "Les Certitudes irrationnelles" (éditions Planète) et dans des publications, notamment la Revue métapsychique, permettent de faire une analyse. Le plus souvent, les pierres tombaient verticalement. Les arrivées obliques furent rares. Elles traversaient le feuillage des trois platanes du parc de la clinique. Elles avaient une vitesse très faible par rapport à la vitesse qu'elles auraient dû avoir si elles tombaient de cette hauteur. Le maximum de projections par jour fut de 48. La police locale, après plainte le 28 août, paraît avoir considéré le docteur Cuénot comme un fou. L'institut métapsychique par contre envoya pour enquête le professeur Tocquet, dont la contribution est fort intéressante. Aucune fraude ne semble devoir être retenue. Jacqueline, interrogée, se défend d'avoir eu une participation quelconque à cette histoire. L'opinion générale à la clinique fut qu'il s'agissait d'une bande de farceurs dont on n'a jamais su qui ils étaient ni comment ils arrivaient à entrer à la clinique et à en sortir. A partir du 1er septembre 1963, les jets de pierre cessent. Ils sont suivis d'autres phénomènes, et notamment de coups frappés dans des portes ou contre des portes. Celles-ci se mettent à s'ouvrir spontanément. Le 4 septembre, on met des verrous, puis tout s'arrête. Il n'y a évidemment aucune explication définitive. Le docteur Cuénot, avec une grande bonne foi, évoque l'hypothèse rationnelle d'un maniaque armé d'une catapulte, et qui aurait tiré à distance. On n'a jamais retrouvé un tel maniaque, et aucune autre maison à Arcachon n'a reçu de pierres.

Les divers cailloux, moellons et briques ne paraissent pas provenir des bâtiments de la clinique pourtant vétuste, mais d'une autre source. En supposant que cette source : mettons un chantier, se trouve à un kilomètre, on en arrive à l'idée de fragment de brique s'élevant dans l'espace, se promenant dans les airs à une vitesse relativement faible, puis arrivant à la clinique. Tout cela exige un travail considérable contre la gravitation, et il est difficile d'imaginer que le système nerveux d'un ou plusieurs malades ait pu fournir cette énergie sans catastrophe pour le malade. S'il s'agit d'un phénomène paranormal, celui-ci utilise une énergie présente dans la nature, mais dont pour le moment nous n'avons pas idée. Dans l'un des cas, au mois d'août, un malade, agent de police à Paris, et donc, en principe, témoin qualifié et bon observateur, a vu partir l'un des cailloux. Celui-ci sortait d'une chambre ! d'une chambre d'un bâtiment désaffecté de la clinique au 2ème étage. Immédiatement, on se précipita : la chambre était vide et sa porte fermée à clef. Autre incident curieux : un des malades étant abondamment arrosé se mit à hurler : " Assez, est-ce que cet imbécile va s'arrêter ? " Et le phénomène s'arrêta.., pour reprendre une demi-heure après, mais plus timidement. A croire que le phénomène en question était capable d'avoir des réactions...

 

 

Cette photographie a été prise, sans flash, dans un restaurant en Autriche, au Tyrol. On y distingue le corps d'une femme inconnue, plus gros que celui des autres convives, passant au travers de la table... Cette personne n'est pas apparu sur une autre photo prise quelques secondes plus tard, avec le flash.

Image120.jpg (20688 octets)

 

 

Source : "Le livre de l'inexplicable", de Jacques Bergier, aux éditions France Loisirs, extrait du Edmonton Journal, d'Edmonton, Canada, du 11 novembre 1969.

Genre : Possession

Lieu : Gillingham, Angleterre.

 

Faits : Une calme demeure du bord de la mer est devenue la maison de la peur, où une fillette de trois ans est apparemment prise de convulsions à la vue d'un crucifix. La petite fille est possédée par un mauvais esprit, dit sa mère, Christine Adams. Une entité surnaturelle s'est emparée de la fillette et de la modeste maison en terrasse de cette petite ville de la côte du Kent. La terreur a commencé il y a un an, dit Mrs. Adams, lorsque des lumières s'allumaient et s'éteignaient, des meubles se déplaçaient, des portes fermées s'ouvraient, des cendriers tombaient des tables et des pièces chauffées devenaient glaciales. "le plus effrayant de tout, pourtant, fut la transformation de Carol", ajoute-t-elle. L'enfant se mit à tenir des conversations avec une personne invisible en se servant de mots qu'une fillette de son âge ne peut pas connaître, et parfois elle se répondait à elle-même avec une autre voix de personne adulte. "Quelquefois, nous pouvions entendre quelqu'un chanter - on aurait dit une berceuse - en même temps qu'elle parlait", dit sa mère. Son mari et elle mirent une croix en bois dans leur living-room pour tenter de combattre cette présence. "Lorsque Carol approchait de la croix, son visage se crispait, poursuit Mrs. Adams, 27 ans. Elle tendait les doigts comme des griffes et montrait les dents. C'était épouvantable." Une voisine, Mrs. Marjorie English, parla du jour où elle vit Carol se pencher hors d'une fenêtre de l'étage. "Je me suis précipitée pour prévenir sa mère mais celle-ci m'a dit que c'était impossible - que les fenêtres étaient fermées et clouées. Lorsque Mr. Adams est rentré chez lui, il a vérifié et les fenêtres ne pouvaient pas être ouvertes. J'ai toujours ri de ce genre de choses. Mais maintenant j'en ai trop vu." Le fils de Mrs. English, Graham, 17 ans, déclara que Mrs. Graham et lui entendirent, une nuit, des bruits qui venaient de la chambre de Carol et qu'ils y montèrent pour voir ce qui se passait. La petite fille était "fourrée entièrement dans une taie d'oreiller." "Nous l'en avons dégagée et nous l'avons emmenée au rez-de-chaussée mais lorsque, quelques minutes plus tard, nous sommes remontés, nous trouvâmes le petit lit refait et la taie, qui avait été jetée à terre, replacée sur l'oreiller." "Je suis convaincue qu'une entité surnaturelle s'est emparée de la maison et se manifeste par l'intermédiaire de Carol", conclut Mrs. Adams. Elle appela un médium, Elizabeth Langridge, à son aide. "Nous n'avons rien vu mais nous avons vraiment senti des influences indésirables, dit celle-ci. Un esprit se servait de cet enfant."

Source : "Les portes de l'inconnu"

 

 







LE MONDE DE L'ETRANGE